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Arbre

Le Temps des Rêves

Avatar de Dahij Dahij Mode Lecture - Citer - 20/08/2013 08:44:12

Bonjour tout le monde ! J'ai une question à poser aux membres d'oméga.

J'ai constaté que pas mal d'entre vous aviez fait l'expérience de la publication, de l'édition. En ce moment, je participe à quelques concours et j'aimerais publié dans un magazine en ligne.

Ce magazine d'ailleurs, conseille à ses auteurs d'être présent sur les réseaux sociaux (tels que twitter, facebook) pour justement favoriser la diffusion et la prise de contact auteurs/auteur et auteurs/lecteurs et j'ai même rencontré un auteur qui disait que twitter était vraiment LA solution pour les jeunes auteurs qui veulent être lus, partager leurs écris. Qu'en pensez vous ?



( une dernière demande. Est ce que le scénario entre dans le cadre du forum omega ? J'en écris quelques uns et si possible j'aimerais les partager. )

Avatar de Zinzolin Zinzolin Mode Lecture - Citer - 20/08/2013 14:56:20

(Tu es bien au bon endroit... enfin, pour la première partie de ton sujet. Pour la seconde, il y a peut-être des endroits plus adaptés dans les sujets un peu en vrac de Bibliothèque ou dans Philosophie -il y a même un truc en philo qui s'appelle Ébauche et griffonnage où tu trouveras peut-être certaines réponses. Bref, tout ça pour dire que tes deux questions sont assez différentes l'une de l'autre et qu'il ne faut pas hésiter à créer deux topics différents dans ce cas là.^^)


Réponse question 1 : Je ne suis pas une auteure publiée et donc je n'ai jamais eu à faire de la communication pour trouver des salons, des contacts voire des éditeurs. Je sais que la visibilité sur internet est essentielle aujourd'hui mais c'est plus fort que moi, quand je lis qu'un réseau social est considéré comme la solution unique et obligatoire pour se faire connaître dans le monde du livre, ça me hérisse. Je ne suis pas rétrograde mais je trouve révoltant qu'il faille risquer de mettre toute sa vie au grand jour (ou même simplement qu'il faille suivre le troupeau) pour réaliser des rêves qui n'ont rien à voir avec ce que proposent ces sites.
Plus rationnellement, je pense que beaucoup donneront raison à ces éditeurs et que les réseaux sociaux s'ils sont bien gérés sont effectivement le moyen le plus rapide de sonder l'opinion sur ses oeuvres et de se faire connaître. Attention quand même à trier les commentaires que tu peux avoir, parce que les "j'aime" ou autres trucs du genre ne sont pas toujours le reflet le plus objectif de l'opinion réelle du lectorat.

Réponse question 2 : Pour la nouvelle (et c'est, pour moi, un peu la même chose pour le roman), il n'y a pas de méthode unique mais une méthode adaptée à ta situation. Quand l'histoire tient vraiment debout et que ton travail porte plus sur la forme que le fond, il est selon moi plus efficace de réécrire seulement les passages que tu juges mauvais. Cela vaut encore pour les légers détails de fond. Mais quand tu sens que le texte entier est bancal, qu'il s'achève sur des discordances entre ton idée idéale de l'histoire et ce que tu as sous les yeux, que le travail de repris promet d'être très très fastidieux, mieux vaut peut-être tout réécrire en ne gardant que la trame, ne serait-ce que pour se débarrasser des détails encombrants qui ne sont pas nécessaires mais restent collés à ton texte et t'empêche de le réformer en profondeur.

Voilà ! J'ai été très longue, désolée...

Avatar de Dahij Dahij Mode Lecture - Citer - 20/08/2013 18:54:53

Je suis plutôt d'accord avec toi Zinzolin, les "j'aime" sont un pâle reflet de ce que les gens pensent. Et bien souvent, pour en avoir, il faut aller les chercher. Se vendre quoi ... J'ai fait l'expérience par un page Facebook que j'ai créé pour publier mes textes pendant quelques mois. Je n'ai pas fait de pub, d'annonces intempestives du coup, j'avais pas vraiment de visite. Et quand j'en avais, je n'avais ni retour, ni critique (c'était pourtant le but !). Bref, rien de constructif chez les réseaux sociaux je pense à moins d'y passer sa vie. Négatif pour moi...

Pour la réécriture de nouvelles, j'ai déjà adopté les deux solutions. Et effectivement, tout dépend de la situation, du récit en lui même. Ça reste subjectif en fait ?

Avatar de naniquolas naniquolas Mode Lecture - Citer - 20/08/2013 20:24:39

Je suis entièrement d'accord avec Zinzolin en ce qui concerne la réponse à la question 2. Pour la question 1, je pense qu'une présence sur internet est indispensable dès le début d'un livre pour pouvoir y renvoyer les gens intéressés, mais ça peut être un site par exemple et pas forcément une page facebook (même si c'est sûr que ça peut s'avérer un outil génial). Voilà, c'est un peu succinct mais ça résume bien ma position^^

Avatar de Dahij Dahij Mode Lecture - Citer - 20/08/2013 20:52:34

Je rejoins naniquolas sur le fait qu'internet est effectivement indispensable. Personnellement ce qui me gène ce sont plus les réseaux sociaux du genre Facebook. C'est idéal à condition d'y passer énoooormément de temps... Je pense que sur des sites comme omega, on a plus de chance de croiser des gens qui apprécient nos écrits.

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 21/08/2013 15:43:18

http://omega.letempsdesreves.fr/topic.php?t=1039&p=1#16249
(pour la question 2)

pour la question 1 : j'approuve Nani. Moi j'ai choisis la page facebook, parce que j'aime bien l'interactivité qu'elle apporte (avec ses bons et ses mauvais côtés)

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 21/08/2013 18:32:40

Pour la question 1, j'approuve les réponses précédentes. J'ajouterai juste que cela dépend aussi de quel public tu souhaites toucher et à quelle échelle. Perso, j'ai publié un livre de poésie et mon but n'est pas de faire un best-seller international mais de le partager avec les gens que je rencontre, de le déposer dans des lieux et des manifestations qui font écho à sa philosophie, etc. Ce n'est qu'un exemple, certes peu commercialement extraordinaire (ce n'est pas son but ... j'ai un pépin ! :p), mais justement je pense que le destin d'un livre n'est pas unique et qu'il faut clairement définir ce que tu souhaites pour ton texte. Sinon, oui je pense aussi qu'internet est un bon outils pour toucher les gens, mais cela doit rester un outils, et parmi d'autres.

Avatar de Brumepin Brumepin Mode Lecture - Citer - 21/08/2013 19:11:12

J'ai lu le sujet en diagonale. Je vais essayer d'être bref. Je te dirai d'abord qu'il faut comprendre la philosophie de chaque réseau social tout en sachant que la philosophie générale, c'est d'être connecté au monde.

Concernant Facebook, tu peux te créer une page en tant qu'auteur séparé de ton compte Facebook personnel. Ca clarifie les choses. Sur ta page Facebook, tes lecteurs se suivent en "aimant" ta page. Concernant ton compte Facebook, il t'est personnel. Tu en fais varier la confidentialité des infos te concernant à ta guise. Tu y ajoutes les amis que tu veux et voilà... Ta page se fera connaître grâce au bouche à oreille.

En clair, la page, c'est pour les lecteurs. Le compte, c'est pour les copains.

Vis-à-vis de Twitter, il s'agit d'un outil très prisé par les journalistes. La raison est simple : un lien, 140 caractères suffisent pour émettre une alerte et faire le boulot de recherche après. Pas de vie privée sur Twitter, ce n'est pas la philosophie. C'est d'avantage l'humour, le sacarsme et la communication d'infos en quasi instantané qui intéresse ses utilisateurs.

Un compte twitter te permettra de te faire connaître par des journalistes, des maisons d'éditions etc. Pour élargir ce réseau, il faut tweetter régulièrement sinon le nombre de tes followers risquent de baisser. La maîtrise du Hastag, du bon mot etc. est un plus.

Tout cela sera creux si derrière, il n'y a pas un blog voire un site web qui retrace ton travail.

J'ajouterai que les réseaux sociaux forment un nouvel espace public. Virtuel certes, mais il s'agit quand même d'un espace public... neutre à la base. Il peut être utiliser pour déconner, réfléchir ou tout simplement être utilisé à des fins commerciales.

Je pense qu'ils ne sont pas obligatoires pour se faire connaître car tes lecteurs sont faits de chair et de sang, tes livres se liront toujours sur papier malgré ce que des chantres du numériques prétendent. Rien ne remplacera un autographe, une rencontre dans un salon, le partage d'une opinion sur un livre in vivo.

Les réseaux sociaux sont un outil supplémentaire pour se faire connaître ni plus ni moins. Il faut juste prendre le temps de les comprendre et de les utiliser avec intelligence.

Voilà, j'espère que j'ai répondu à tes questions.

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 21/08/2013 19:58:14

j'ajoute que du moment que tu commences à faire ta pub sur internet via un blog, forum et autres réseaux sociaux, il faut que tu délimites avec attention le temps que tu comptes y passer, pour ne pas empiéter sur ton temps de création personnel (perso, au départ, j'ai fais beaucoup de com pour mon livre, au détriment de mon envie d'écrire)

Avatar de poulix poulix Mode Lecture - Citer - 22/08/2013 18:39:00

Oui, définir le temps qu'on y passe et le cadre que l'on se donne est essentiel, crucial, vital si on ne veut pas mourir submergé sous notre envie parfois vaine de parler de ce qu'on fait à tout le monde. Mieux vaut en parler à quelques personnes réellement intéressées (philosophie Lune) qu'à une foultitude de personnes qui t'écoutent par politesse (ou ne t'écoutent pas ^^)

Avatar de UnAutreLapin UnAutreLapin Mode Lecture - Citer - 23/08/2013 11:21:12

La dessus j'ajouterais les réseaux sociaux spécialisés. Les endroits où on sait que de base on a déjà une passion commune.

Deviantart :
Les gens y partagent leurs œuvres d'art, qu'ils soient ultra amateur-débutant ou professionnels réputés. Des groupes autour d'un thème (le monochrome, les arches sous toutes leur formes, Avatar the last airbender, la customisation de nerf, la couleur bleue, etc. ) existent, et peuvent donc regrouper des gens.
Un système de "+Watch" et de "+fav" permet de se créer sa galerie quotidienne, de passer d'artiste en artiste à travers des goûts partagés.
C'est clair, c'est pas forcément le plus causant des réseaux sociaux, mais moi ça me va!!
Du coup... Ben retrouvez-moi-z-y ^^

Coolminiornot
Un site de galerie et vote pour les figurines. Sérieux ça existe Grand Sourire
Pire, j'y passe des heures.
Au fil des années, il s'y est greffé un système de boutique, de blog, de forum, de ... C'est tentaculaire. Les nouvelles marques embauchent des pros pour poster leurs nouveautés là-bas, pour se faire de la pub. Des "courants artistiques" se dégagent autours de certains artistes. Genre, ben je suis en pleine French Touch ^^
Pas totalement un réseau social au sens général, parce que c'est tellement geek! Mais crapporté aux livres, c'est plus gros que la FNAC en terme de distribution d'infos. Le niveau d'en dessous serait Minicreateurs, peut être? au level français? Un gros gros forum qui tourne.


Pour moi, le partage sur réseau social (comme FB) correspond à :
- des news données à des gens plus ou moins éloignées.
- un lieu de partage des créations quelles qu'elles soient (parce que bon, j'ai du mal à rester bloqué sur un thème ou un support, ceux qui me connaissent comprendront etc.)
- un lieu quotidien d'échanges de conneries (parce que j'aime ça, bêt'ment)
- un lieu de découvertes. Parce que pour moi les relations avec certaines personnes sont quand même orientées par un lien de famille, de l'amour, de l'amitié, des sujets communs et débiles, mais aussi une certaine curiosité intellectuelle qui passe par le renouvellement constant de la rencontre et de l'échange intellectuel (en gros : certaines personnes sont intéressantes). Et j'ai des potes comme ça, que je connais à peine, mais dont j'adore voir les photos, écouter les découvertes musicales, lire les citations.


@ Wen & Poulix :
Pour le coup de la création Vs la pub, je dirais que vu que je suis pas très constant actuellement dans le temps passé à créer, ni sur le support, je dirais que ça n'y change pas grand chose.
Parce que si j'aquarellise je ne fais pas de crayonné extérieur, si je peints une ou deux figurines je ne parle pas philo avec une personne géniale, Si je participe à un tournage je ne lis rien. Du coup si je poste une vidéo musicale je ne regarde pas un épisode d'animé. Si je suis sur FB à lire je n'y suis pas à écriire des bêtises.
Si je fais un truc, si je dessine ou écris ou maquille ou bricole, c'est pour mon équilibre intérieur et pour un partage. En même temps. Mais sur un équilibre précaire.
Mon mode de création est souvent un truc d'autiste. Un enfermement radical et profond. Des fois, il y a sur-pression et je râle un coup, comme ne cocotte minute qui dégaze, en public ou par gmail ^^. Et en plus il ce mode de création n'est pas monolithique : Si je bosse sur un truc, c'est impossible que ça puisse passer direct en mode galerie ou édition après. Et aussi, je n'ai pas l'impression de délaisser un sujet particulier pour l'action actuelle, ou bien ce serait valable pour tous les sujets que j'aime ^^

Ma 'pub' est du coup le moyen d'expression de cette phase autiste. C'est mon concert après l'entrainement. Le premier coup de fourchette après des heures de cuisine. Quand je passe 30h sur un truc, la seule chose pour laquelle je suis présent, c'est le 1er sourire de la découverte, le 1er commentaire sur FB.
Le graphisme est super-particulier pour ça. Le plaisir d'autrui ne dure pas 5mn ou 2h comme pour un morceau de guitare, un spectacle ou un roman. C'est juste un p--- de pic qui dure grand max 10s. On ne tombe pas amoureux en 10s. Et des fois, il y a des heures et des heures d'introversion profondes pour savoir (et pire, sans le voir même) qu'il peut y avoir ces 10s ailleurs.
Du coup, poster un truc sur un réseau social, c'est peut être le seul moyen d'obtenir un petit quelque chose de gratifiant. C'est pas une corvée. Et c'est nécessaire pour me donner envie de me remettre à autre chose.
Alors ouais pour un guitariste qui voit des gens baver devant lui pendant 1/2h à chaque fois qu'il joue, son moment de performance est plus important que la communication par réseaux sociaux. Mais pour le malade mental avec ses tubes de couleur enfermé dans sa pièce? La diffusion d'un carré de 1024 pixels de rebord, c'est son seul moyen d’obtenir un sourire fugace.

Oh, je crois que je me suis perdu dans mes pensées, et mon café est fini...
@+ LOL

Avatar de Dahij Dahij Mode Lecture - Citer - 25/08/2013 16:16:37

Merci pour vos réponses, elles m'ont permis de bien réfléchir sur le sujet.

Au final, je pense qu'il est important que la démarche "publicitaire" ou de communication va d'une manière ou d'une autre prendre une place importante dans le quotidien de l'auteur qui veut diffuser ses idées.
J'en déduis donc que la partie communication / pub doit être aussi agréable que la partie créativité (écriture, dessin, colorisation, vidéo, musique...). On doit être capable de trouver ce que l'on prendra plaisir à accomplir pour diffuser nos idées tout en sachant que cela ne fait pas parti de notre oeuvre. La communication doit, pour que l'auteur persiste dans un même mouvement, faire parti de sa créativité.
Ainsi quoi que l'on puisse faire, on se rejoint en nous même, pour que notre "équilibre intérieur"comme dit UnAutreLapin, ne penche, ne se sente pas "trahit" par ce que l'on fait.

Parfois il m'arrive d'être en train de faire quelque chose tout en sachant que ma place n'est pas là. Ou que j'agis d'une manière qui n'est pas en accord avec ce que je suis. C'est un peu le même principe je crois.
Peu importe la démarche de comm, l'essentiel est de rester soi même. Les moyens de diffusion importent peu si on aime ce que l'on fait. La communication ne doit pas devenir une phase éprouvante, une phase de "vente de sa personne" mais bien une continuité dans la phase créative sans oublier que la pub ne fait pas vraiment (en général) parti de l'oeuvre en elle même (ok, ça se discute...)

Je ne suis pas trop porté sur les réseaux sociaux, je préfère être dans mon coin, créer dans mon coin et j'ai parfois du mal à partager ce que je fais. Alors peut être qu'il faut que je trouve une autre solution pour diffuser ce que je fais, quelque chose de moins général. (d'où ma présence sur Omega Clin d'oeil )
D'autre comme UnAutreLapin, travaille sur du visuel, et je suis tout à fait d'accord quand tu dis que le graphisme est très particulier au niveau de la publication/ la diffusion. Mais du coup, les réseaux sociaux sont peut être plus adapté à ta vision, ton travail...

Brumepin:
"Je pense qu'ils ne sont pas obligatoires pour se faire connaître car tes lecteurs sont faits de chair et de sang, tes livres se liront toujours sur papier malgré ce que des chantres du numériques prétendent. Rien ne remplacera un autographe, une rencontre dans un salon, le partage d'une opinion sur un livre in vivo.

Les réseaux sociaux sont un outil supplémentaire pour se faire connaître ni plus ni moins. Il faut juste prendre le temps de les comprendre et de les utiliser avec intelligence."

Je cite Brumepin pour conclure sur le fait qu'au final, à chacun sa manière et ses outils, l'essentiel est de ne pas s'engouffrer dans des démarches qui ne nous plaise pas, qui ne nous vont pas. Réseaux sociaux ou autre, tout dépend de notre personnalité et de notre point de vue.

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 25/08/2013 16:18:55

''Je cite Brumepin pour conclure sur le fait qu'au final, à chacun sa manière et ses outils, l'essentiel est de ne pas s'engouffrer dans des démarches qui ne nous plaise pas, qui ne nous vont pas. Réseaux sociaux ou autre, tout dépend de notre personnalité et de notre point de vue.''
Magnifique conclusion Clin d'oeil c'est tout à fait ça ! et surtout oui, il faut que ça plaise, parce que ça prend énormément de temps !

Avatar de Zinzolin Zinzolin Mode Lecture - Citer - 25/08/2013 16:49:56

Clap, clap !! (Se dit qu'elle n'est pas la seule à penser réussir sa vie littéraire en boudant Facebook.^^)

Avatar de naniquolas naniquolas Mode Lecture - Citer - 25/08/2013 17:02:53

Belle synthèse !

La communication doit, pour que l'auteur persiste dans un même mouvement, faire parti de sa créativité.


très bien dit je trouve.