Wensaïlie
Mode Lecture -
Citer - 05/08/2012 20:44:15
Après avoir corrigé Enjan, je redécouvre la lecture ! Alors pourquoi pas en parler un peu, parce que je lis aussi des vrais livres entre les romans de certains membres de ce forum et les miens !
Et l'aventure commence aux éditions Valentina :http://www.valentina-e.asso.st/ vous pouvez les retrouver là.
Bon, excusez les fautes je reviendrais les corriger, mais voici un petit défouloir (ma première chronique de bouquin ! ah non, j'en avais fait une pour la horde du contrevent) :
j'ai mis en spoiler le défouloir, car plus bas vous pouvez trouver une critique mieux construite (je crois ^^)
Et l'aventure commence aux éditions Valentina :http://www.valentina-e.asso.st/ vous pouvez les retrouver là.
Bon, excusez les fautes je reviendrais les corriger, mais voici un petit défouloir (ma première chronique de bouquin ! ah non, j'en avais fait une pour la horde du contrevent) :
J’ai commandé la semaine dernière deux livres des éditions Valentina, que je surveille de loin depuis quelques mois car très prometteuses d’après leur page fb.
Le premier était (censuré), le deuxième Alexis.
Comment je les ai choisi ? d’abord je voulais des livres papiers. Ensuite je me suis attaché au résumé, puis à la couverture. (censuré) avait l’air de bien marcher, le résumé, type bande annonce, est évidemment prenant, et la couverture, bien que classique et niveau roman de gare, attire l’œil et fonctionne correctement. Autrement dit, il a fini dans mon panier. Pour Alexis… c’est la première image que j’ai vu en bannière sur la page fb des éditions valentina. Etant fan de shonen-ai, je n’ai pu m’empêchée d’être intriguée par ce couple de garçon, dessiné dans un parfait style yaoi (la différence avec le shonen-ai est juste que les relations au lit entre les personnages sont plus explicitement décrite). Le résumé avait l’air sympa et les autres livres ne me tentant pas plus que ça (depuis twilight, je suis en peu dans l’overdose vampirique), Alexis a fini au panier aussi.
Alors quand je les ais reçu, je les ai bien regardé. (censuré) étant plus épais, c’est par lui que j’ai commencé.
AAAAAAAH ; j’attendais tellement des éditions Valentina que la chute fut profondément vertigineuse. A la troisième page, je ne pus m’empêcher de saisir un crayon de bois et de gribouiller les pages pour corriger incohérences temporelles, redondances et lourdeurs de style. L’histoire est pétrie de clichés, tous les personnages sont beaux et magnifiques. L’héroïne est évidemment puissante et elle-même superbe. Toutes ces péripéties coulent d’elles-mêmes sans qu’elle n’ait à se fatiguer pour réussir sa mission, à laquelle elle donne un sen un peu trop énorme à mon goût. En effet, c’est pas parce qu’on apprend qu’en fait notre père génétique n’est pas celui qu’on nous a élevé que soudainement on doit partir à la recherche de l’autre, laissant tout bouler à côté. Elle part en quittant son ami dans un remake de twilight II et roméo et Juliette larmoyant de ‘je t’aime mais je pars pour ton bien ‘ (pitié !), car en effet elle sait qu’elle va à l’avant de graves dangers… pourtant ça ne fait que trois heures à peine qu’elle sait qu’elle est une sorcière, et elle décide de se mettre à la recherche de son papa dracula sans même connaître la nature des vampires de son monde. Chaque paragraphe répète celui d’avant, le résume, histoire d’être sur que le lecteur suit bien l’histoire. L'héroïne est tellement spéciale qu’elle peut même aller d’une chambre d’hôtel ‘au dessus de l’aéroport’ à la salle d’embarquement de son avion en moins de dix minutes. J’admire. A 20 ans, à la fac, elle n’a aucun problème d’argent pour s’acheter un billet du jour au lendemain partir à Varsovie, se louer des voitures et partir ensuite encore à tralala les cacahuètes. Bref, au bout des trois heures de lecture, de pages de plus en plus noircies par mes cercles énervés, j’ai lâché le livre en me disant qu’il serait une bonne thérapie les jours où je serais énervée et que j’aurais besoin de me défouler. Ce livre veut être au niveau d’un best seller et se prend trop le chou en figure de style lourde et en effet qui veulent instaurer un suspens qui ne marche pas et donner des allure grandiloquentes et merveilleuses au roman qui du coup perd de ce qui pourrait être impressionnant. Le fort de twilight était d’être vraiment simple et léger, ici c’est trop. Tout brille, tout est génial, tout est parfait !
Le premier était (censuré), le deuxième Alexis.
Comment je les ai choisi ? d’abord je voulais des livres papiers. Ensuite je me suis attaché au résumé, puis à la couverture. (censuré) avait l’air de bien marcher, le résumé, type bande annonce, est évidemment prenant, et la couverture, bien que classique et niveau roman de gare, attire l’œil et fonctionne correctement. Autrement dit, il a fini dans mon panier. Pour Alexis… c’est la première image que j’ai vu en bannière sur la page fb des éditions valentina. Etant fan de shonen-ai, je n’ai pu m’empêchée d’être intriguée par ce couple de garçon, dessiné dans un parfait style yaoi (la différence avec le shonen-ai est juste que les relations au lit entre les personnages sont plus explicitement décrite). Le résumé avait l’air sympa et les autres livres ne me tentant pas plus que ça (depuis twilight, je suis en peu dans l’overdose vampirique), Alexis a fini au panier aussi.
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Alors quand je les ais reçu, je les ai bien regardé. (censuré) étant plus épais, c’est par lui que j’ai commencé.
AAAAAAAH ; j’attendais tellement des éditions Valentina que la chute fut profondément vertigineuse. A la troisième page, je ne pus m’empêcher de saisir un crayon de bois et de gribouiller les pages pour corriger incohérences temporelles, redondances et lourdeurs de style. L’histoire est pétrie de clichés, tous les personnages sont beaux et magnifiques. L’héroïne est évidemment puissante et elle-même superbe. Toutes ces péripéties coulent d’elles-mêmes sans qu’elle n’ait à se fatiguer pour réussir sa mission, à laquelle elle donne un sen un peu trop énorme à mon goût. En effet, c’est pas parce qu’on apprend qu’en fait notre père génétique n’est pas celui qu’on nous a élevé que soudainement on doit partir à la recherche de l’autre, laissant tout bouler à côté. Elle part en quittant son ami dans un remake de twilight II et roméo et Juliette larmoyant de ‘je t’aime mais je pars pour ton bien ‘ (pitié !), car en effet elle sait qu’elle va à l’avant de graves dangers… pourtant ça ne fait que trois heures à peine qu’elle sait qu’elle est une sorcière, et elle décide de se mettre à la recherche de son papa dracula sans même connaître la nature des vampires de son monde. Chaque paragraphe répète celui d’avant, le résume, histoire d’être sur que le lecteur suit bien l’histoire. L'héroïne est tellement spéciale qu’elle peut même aller d’une chambre d’hôtel ‘au dessus de l’aéroport’ à la salle d’embarquement de son avion en moins de dix minutes. J’admire. A 20 ans, à la fac, elle n’a aucun problème d’argent pour s’acheter un billet du jour au lendemain partir à Varsovie, se louer des voitures et partir ensuite encore à tralala les cacahuètes. Bref, au bout des trois heures de lecture, de pages de plus en plus noircies par mes cercles énervés, j’ai lâché le livre en me disant qu’il serait une bonne thérapie les jours où je serais énervée et que j’aurais besoin de me défouler. Ce livre veut être au niveau d’un best seller et se prend trop le chou en figure de style lourde et en effet qui veulent instaurer un suspens qui ne marche pas et donner des allure grandiloquentes et merveilleuses au roman qui du coup perd de ce qui pourrait être impressionnant. Le fort de twilight était d’être vraiment simple et léger, ici c’est trop. Tout brille, tout est génial, tout est parfait !
j'ai mis en spoiler le défouloir, car plus bas vous pouvez trouver une critique mieux construite (je crois ^^)
y'a deux cent pages, on en est à cent environ !