Vous devez être connecté pour participer aux conversations !
Arbre

Le Temps des Rêves

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 05/01/2012 20:36:02

Il me semble que le conseil numéro dix est publié plus haut dans ce message!

C'est une bonne référence Grand Sourire

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 07/01/2012 21:19:01

Plus les gens lisent, plus ils corrigent, plus des problèmes ardus se posent.

et pour une fois, l'écrire ici ne me permet pas de le résoudre toute seule ^^ (si vous saviez le nombre de messages non postés qui sont passés par ici).
problème numéro un et unique une toute petite phrase, à la fin de cet extrait ^^ qu'en pensez-vous?

(et comme certains râlent toujours pour avoir du contexte j'en ai mis ^^)

Chapitre un

Lorsque l’on demande « Qui était l’Empereur Enjan Atalan Midakil ? », les gens répondent : « C’était un grand homme ».
Et c’est la vérité. L’Empereur Midakil était un grand homme. Il est celui qui a réunifié l’Île de Codée bien des années après les Grandes Guerres, tâche que beaucoup croyaient irréalisable.
Mais sur Codée il n’y a pas de héros, que des gens ordinaires. L’Empereur Midakil était un personnage important, mais comme chacun d’entre nous, il avait ses faiblesses et ses défauts. Tous les grands hommes ont leurs petites histoires.
C’est une de ces histoires que je vais te raconter maintenant.

Chapitre deux

— Ma Reine ! s’exclama Senalee, c’est impossible !
— Impossible ? répéta la souveraine en se tournant vers sa conseillère.
— Impossible ! réaffirma celle-ci avec un regard sévère et déterminé.
— Mmm…
La mère Etoile fit semblant de réfléchir.
— Impossible est un mot qui ne s’applique pas à moi, déclara-t-elle finalement en sautant de son trône.
Avec son corps de fillette cela équivalait à franchir dix centimètres de vide.
— Je suis la Reine, je fais ce que je veux, et toi, tu te plies à mes caprices.
Senalee voulu retenir sa souveraine mais il était trop tard : la Reine avait déjà disparu.
— Ça ne va pas se passer comme ça, grogna la jeune Etoile à voix basse. Majesté ! Attendez ! s’exclama-t-elle en poursuivant sa souveraine.
Les quelques Etoiles qui s’affairaient aux alentours lui jetèrent un regard plein de compassion. La Reine pouvait être aussi bien ((tout aussi bien être) très sérieuse que complètement inconsciente, ce qui ne facilitait pas la tâche de Senalee. Comment penser qu’une telle personne puisse être leur mère à toutes ?

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 07/01/2012 21:26:09

Et aussi un problème de conjugaison
j'avais mis au singulier mais on m'a corriger alors à force, je ne sais plus:
"Chacune des tentures avaient été réalisées en double." ou "avait été réalisée?"

idem:
"La plupart des Etoiles pensaient que les crises enfantines de leur mère étaient dues à son âge avancé. "
ou pensait? (mon avis ^^)

"Toute à ses pensées, Wen salua des connaissances, ministres, amis, et prit place à la table royale entre son mari, Ehl, et son meilleur ami, Kim, un Poète surnommé Flûte Argentée."
tout ou toute? à ses pensées?

"Enjan se demanda quoi faire. Son grand-oncle était la dernière personne de qui il aurait aimé recevoir la coupe, mais il n’avait pas le choix. "
de qui ou par qui?

"Il sentait dans son cœur une flamme grandissante brûler. Wen, Kenja, son père… ils avaient tous raison : ces gens l’aimaient et attendaient beaucoup de lui. "
vous dites tous "ces" mais est-ce si difficile à comprendre que ce sont SES gens comme SES sujets??

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 07/01/2012 22:20:03

demande pour ceux qui ont lus :

Spoiler - Afficher

Une lectrice me dit:
Vis à vis du début et de l'enfance des personnages: "je trouve que les années passent beaucoup trop vite tu ne prends pas forcément le temps de bien les décrire, de décrire ce qu'ils font, comment, avec qui, avec quoi...
vrai ou faux ou moyen? Avez-vous été aussi frustrés? Est-ce qu'après avoir lu la suite ça vous a manqué, vous pensez que c'est essentiel d'en savoir plus?, ou vous pensez que c'est ok comme ça? moi j'ai mon avis, mais j'aimerais savoir le votre ^^

(en sachant que j'ai déjà rajouté un passage axé sur Enjan exclusivement (vient s'ajouter à celui de Kahlan (que j'ai déjà largement allongé) et de Seiren qui découvre sa vraie nature:

"Trois ans plus tard.

Enjan marchait d’un pas innocent dans les couloirs. Il entendait au loin Kenja qui le cherchait, aidé des Chevaliers du Roi, mais sans grande conviction. Ils abandonneraient bientôt. Au début, il s’en était voulu d’inquiéter le premier ministre. En agissant ainsi, il ne faisait que le distraire des affaire du royaume, qui avaient bien besoin de lui, cela au moins il l’avait compris, malgré son jeune âge. Mais le Prince ne pouvait s’en empêcher. Il ne supportait plus d’être constamment surveillé, par sa vieille nourrice, ses professeurs, les Chevaliers… Il s’échappait donc de plus en plus souvent, pour partir à la découverte du Palais. Habillé comme n’importe qui, aux couleurs du royaume, les serviteurs le prenaient pour un enfant du Palais. Il était donc souvent réquisitionné pour aider aux tâches ménagères : ranger la vaisselle, changer les draps, faire les poussières dans les chambres… Et grâce aux autres enfants, il avait appris tous les passages secrets et les raccourcis utiles du château. Il pouvait à présent se rendre presque n’importe où dans le château sans être vu.
Au bout de quelques escapades, il soupçonnait l’Intendant du Palais d’avoir découvert sa petite combine. Le vieil homme, qui avait un œil sur tout, s’était bien gardé de lui faire une quelconque réflexion. Cependant, il avait dû prévenir Kenja, et les autres serviteurs. Depuis, lorsque le Prince disparaissait, le Premier Ministre demandait aux Chevaliers de le chercher « pour la forme », sachant très bien que le jeune Prince était sous la surveillance étroite mais discrète des serviteurs. Ces derniers prirent très à cœur cette fonction, mais ils continuèrent à traiter Enjan comme l’un des leurs. Ce dernier faisait semblant de ne rien voir, et ce compromis satisfaisait tout le monde. Pour remercier Kenja, sans pour autant lui avouer sa gratitude, le Prince s’était promis d’assister sans faute à tous ses cours, et d’y être attentif. Le Premier Ministre avait évidemment remarqué ce regain d’intérêt du Prince pour ses cours, mais il ne fit aucun commentaire. Ce contrat implicite lui convenait très bien. Plus même que ce que le Prince pouvait se douter.
— Eh, petit ! Arrête de rêver !
Enjan frissonna en reprenant ses esprits. Aujourd’hui, il accompagnait une des vieilles servantes préparer la salle du conseil. Ils empruntèrent le couloir des blasons, qui menait directement à leur destination. Mais avant qu’ils n’entrent dans la pièce, la vieille posa ses paniers devant la porte et se tourna vers Enjan.
— Tu sais où nous sommes ?
Enjan posa ce qu’il portait et regarda autour de lui, un peu gêné par la question. Il connaissait assez cette dame pour savoir qu’il y avait un message implicite dans ses paroles, mais il lui restait la plupart du temps obscur.
— Alors ? insista la servante.
— Le couloir des blasons ?
— Tout à fait ! Et tu sais pourquoi ce couloir existe ?
Enjan regarda la vieille femme avec suspicion. Etait-ce son maître d’Histoire qui s’était déguisé ? Le Prince dut cesser d’émettre des hypothèses farfelues. Il répondit à la question, devant le regard sévère de la servante :
— Dans ce couloir sont exposés les blasons des Seigneurs et des familles Nobles, qui ont pour mission de protéger le Royaume…
— Même si elles ne remplissent plus leur rôle… Continue !
— Ce couloir est une des plus anciennes parties du Palais, récita Enjan.
Il avait appris cela quelques mois plus tôt.
— C’est le chef de tribu Atalan, créateur du Royaume, qui l’a décidé lorsqu’il a uni les Nobles sous une seule et même bannière, afin de protéger les terres de Nadane. Et c’est parce qu’ils étaient toujours en guerre que leurs intendants sont devenus les Seigneurs, qui ont maintenant plus d’importance que les Nobles. Ce qui veut dire qu’aujourd’hui les pouvoirs politiques et militaires sont séparés. Et que la politique à plus d’importance que les militaires.
La vieille sourit, comme pour le féliciter.
— Le Grand roi, comme on l’appelle, a ensuite décidé qu’il serait la personne à qui tout le Royaume devrait se référer, Nobles et Seigneurs.
— Et il s’est créé sa propre armée, au fur et à mesure, ce qui a participé au déclin des familles Nobles, en affaiblissant leurs propres forces. Ils ne vous apprennent pas ça à l’école. La séparation des pouvoirs n’existe pas.
— Le Grand Roi a aussi mis en place un Conseil, en accord avec le Roi de l’Ithilîle, afin de gouverner justement. Le Maître de Politique du Palais a dit que la plupart des gens pensaient comme vous. Mais le Roi ne peut partir en guerre sans l’appui des Ministres et des Guildes…
La vieille haussa les épaules en marmonnant quelques paroles incompréhensibles.
— Pourquoi ces questions ? ajouta le Prince.
— Pour moi, cette salle est la plus importante du Palais. Elle montre combien l’unité peut faire la force, mais aussi les qualités que doit avoir un bon roi, pour guider ses sujets. Elle nous rappelle à tous les sujets ce qu’ils doivent à leur roi, en échange de la protection et de la justice qu’il prodigue. Mais n’oublie pas, petit…
Enjan sentit une pointe d’inquiétude monter en lui, prit par le récit de la vieille servante.
— Si un jour, le Roi cesse de remplir son rôle, ne protège plus le peuple et ne se préoccupe plus de son bien être, qui sait…
— Quoi ? Qui sait quoi ?
— Qui sait ce qu’il peut se glisser dans l’ombre, qui sait les substances inodores dans un plat savoureux… qui sait où est la Mort lorsqu’on profite trop de la vie…
La voix s’atténua doucement et ce fut comme si une vague de ténèbres étreignait le Prince. La servante parlait-elle de meurtre ? De complot secret ? N’était-ce pas dangereux ?
— Mais le peuple ! s’exclama-t-elle.
Choqué et surpris, Enjan ne put retenir un sursaut.
— Le peuple peut aussi parler, s’exprimer d’une voix puissante ! Et lorsque, comme un, il se soulève et que sa colère déferle sur le pouvoir…
— Tout est balayé, compléta quelqu’un derrière eux, comme les vagues effacent toutes traces de passage sur une plage.
Enjan se retourna et sourit timidement. Aswas, Premier Chevalier de son père, se tenait là, sous le blason de Nuance. Le Prince pria pour que le Chevalier joue le jeu et ne dévoile pas son identité à la servante. Cette dernière affichait un air contrarié, les lèvres pincées.
— Que faites-vous là, Chevaliers ? demanda-t-elle d’une voix dure.
— Je cherchais de l’aide pour une affaire urgente, répliqua Aswas, impassible. Et vous ?
— Je vais préparer la salle du Conseil avec ce jeune homme.
— A trois, nous irons plus vite. ensuite, vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que je vous l’emprunte ?
— Vous n’avez donc pas d’écuyers pour vos besognes ?
Enjan allait de surprise en surprise. La servante et le Chevalier semblaient se détester cordialement. La voix de la vieille femme était si froide qu’il ne se souvenait pas avoir déjà entendu quelqu’un d’aussi en colère.
— Nos instructeurs ne trouvent plus de jeunes gens assez nobles dans leurs intentions pour intégrer notre ordre, répondit Aswas avec un petit soupir. Peut-être que vous devriez amener plus d’entre eux ici…
La vieille servante sembla s’adoucir. En grommelant, elle se baissa pour reprendre ses paniers. Sur un signe d’Aswas, Enjan l’imita. Ils pénétrèrent tous les trois dans la salle du Conseil.
Le Chevalier s’occupa d’ouvrir les rideaux pendant qu’Enjan et la servante déballaient leurs paniers. Le tout dans un silence parfait. Tandis que la vieille dame disposait les verres et boissons sur les tables, Enjan remplit un buffet d’encas. Lorsqu’il eut terminé son travail, il rejoint Aswas et observa pensivement la salle.
Elle était de taille moyenne, percée de fenêtres sur le mur en face de l’entrée. Quelques meubles s’alignaient à droite de la porte, là où Enjan avait rangé les encas. Le centre de la pièce était occupé par des tables, disposées en un grand rectangle creux, pour permettre aux messagers et aux invités de parler à tous. Enjan était souvent venu ici, notamment pour tenir compagnie à Valin. Mais maintenant l’apprenti Magicien était toujours en mission dans le Royaume, et Maître Arceval n’assistait plus au conseil.
Le Prince ne put s’empêcher d’admirer encore une fois la décoration. Le Palais de Corona était étonnamment sobre sans sa décoration. Les pierres étaient le plus souvent restées nues, à part dans quelques couloirs où des tapisseries et des tableaux avaient pris place. Dans certaines chambres aussi, quelques toiles agrémentaient parfois les murs, mais le minéral restait très présent. Sauf dans cette pièce, à la connaissance d’Enjan. Ici, la pierre était invisible, entièrement recouverte d’immenses toiles de cuir sur lesquelles étaient dessinées des cartes. Sur les murs latéraux se trouvaient les cartes du royaume, de ses différentes régions et de ses eaux navigables. Sur le mur en face du trône royal, où se trouvaient les quelques meubles de la pièce, une carte entière de l’Île et de ses côtes était affichée. Enjan était toujours impressionné de voir jusqu’où les marins avaient put aller explorer les mers autour de l’Île. Cependant ils n’avaient jamais trouvé de nouveau continent. Ils finissaient toujours par revenir, grisés de leur expérience certes, mais légèrement déçus de ne pas avoir trouvé les frontières de leur Monde. La mer semblait infinie.
— Bien, fit Aswas lorsqu’ils eurent finit de tout arranger. Allons-y.
Enjan jeta un regard à la servante qu’il accompagnait. Celle-ci ramassait les paniers, toujours en grognant, mais ne fit rien pour dissuader le jeune homme de suivre le Chevalier.

— Dites…
Aswas posa un regard interrogatif sur Enjan.
— Ce que cette Dame disait tout à l’heure…
— Ce n’est qu’un rituel, mon Prince. Une sorte d’initiation que cette vieille folle aime faire passer à tous les jeunes de votre âge qui vivent au Palais.
Enjan frissonna, hanté par les prédictions et le regard brûlant de la servante.
— Mais elle a raison, non ?
— A quel sujet ?
— Le peuple a besoin du Roi, mais le roi a aussi besoin de son peuple. Alors est-ce que si le Roi ne fait pas correctement son devoir…
— Vous vous inquiétez pour votre père ?
Enjan n’osa pas hocher la tête. Il était jeune. Ses cours de politique et d’Histoire ne suffisaient pas à lui expliquer la complexité du rôle qui l’attendait. Et il devait bien admettre que jusqu’à présent, il n’avait pas vraiment réfléchi à ce qu’impliquait le fait de gouverner un pays. Il avait encore du temps pour ça. Aswas posa une main réconfortante sur l’épaule de Prince.
— Ce que cette vieille pie disait est vrai. Et le peuple peut décider d’agir si les choses deviennent incontrôlables ou inadmissibles. Mais cela ne s’est jamais produit jusqu’à présent. Votre père est à la tête de ce Royaume, mais il ne le dirige pas seul. Il le fait avec les ministres, les Nobles, les Seigneurs…
Le Chevalier remarqua la moue peu convaincue du Prince mais il n’eut pas le courage d’essayer de le faire changer d’avis. Après tout, lui-même n’accordait aucune confiance à ces gens, mis à part quelques uns comme le Noble Tilhem, le Ministre de la Justice, Aled Jared, et évidemment le Premier Ministre, Kenja. Le Premier Chevalier se rengorgea et tenta d’adopter une autre tactique. Il grogna intérieurement. Lui qui d’ordinaire parlait peu, et encore moins de politique ! Comment s’était-il retrouvé embarqué dans une conversation aussi dangereuse ?
— Le Premier Ministres Kenja est un homme sûr, intelligent et astucieux. Il a toujours fait face aux problèmes avec votre père et jusqu’à présent, cela a plutôt donné de bons résultats.
Le Chevalier ne se sentit pas obligé d’ajouter que si le Roi prendrait le temps de s’investir un peu plus dans la vie politique du royaume, les choses s’amélioreraient plus vite. En réalité, malgré toute sa bonne volonté et son incroyable force morale, Kenja réussissait à peine à maintenir le Royaume hors de l’eau.
— Et en cas de problème, vous pouvez compter sur nous autres, Chevaliers. Nous ne sommes là que pour vous protéger.
Enjan lui lança un sourire timide et désolé en se rendant compte de la position dans laquelle il venait de placer Aswas.
— Parfait ! s’exclama ce dernier, puisque c’est réglé, allons-y !
Le Chevalier leva son épée et se mit en garde. Enjan l’imita. L’entraînement pouvait commencer."

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 07/01/2012 22:23:51

idem, pour ceux qui ont lus ^^

Spoiler - Afficher


Cette même lectrice dit (toujours pour l'empereur 1 hein...):
"la mort du roi j'avoue que j'ai été un peu perdue parce que tu annonces ça de but en blanc, je me doutais bien qu'il allait mourir mais je pensais que tu décrirais sa mort, les conséquences, l'endroit etc. J'avoue que de ce côté là j'ai été un peu déçue :S

et vous? déçus? vous pensez que ça manque ou pas?

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 07/01/2012 23:10:12

Je n'ai pas compris quel était le problème dans la phrase sur Senalee du chapitre 1.

Je vote pour "avait été réalisée" mais tu devrais plutôt demander à poulix (J'espère que ce n'est pas moi qui t'es corrigée le contraire ^^).
"Toute à ses pensées".
Pour "ces" oui c'est difficile de comprendre que tu parles de SES gens puisque avant tu cite DES gens : Wen, Kenja, son père ...

Sinon, perso, je ne suis pas d'accord avec les remarques de la lectrice (réponse succincte parce que j'ai peu de temps, mais claire ^^).

Et si le nouveau passage s'intercale bien dans les autres, il est très bien pour contenter les avides de renseignements sans faire exposé. Bravo.

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 08/01/2012 09:16:23

Le problème est juste (que j'avais envie de poster un message ^^) qu'elle propose de remplacer:
La Reine pouvait être aussi bien être très sérieuse que complètement inconsciente,
par
La Rein pouvait tout aussi bien être...
et je me demande lequel est le mieux (les questions inutiles à se faire des noeuds au cerveau ==)

(ce n'est pas toi, j'ai dénichée une nouvelle lectrice... qui pensait qu'elle aurait pas le temps avant longtemps de lire le tome un et qui m'a envoyé des corrections à 4h du matin... ça te rappelle quelqu'un ? :p)

Pour le "ses" alors je vais corriger (petit soupir, je l'aimais T.T)

C'est clair en effet ^^

Il s'intercale bien (je pense ^^). Merci! Ca n'a pas été facile d'éviter l'exposé (et techniquement ça permettra d'alléger les conseils des Ministres...)


(NOTE pour le conseil des ministres la lectrice pense:
"Sinon j'ai bien aimé la description des ministres de l'assemblée et ensuite le discours de chacun ^^
Très bien détaillé tout ça =)"
OUF! Pari tenu ^^)

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 08/01/2012 11:51:07


Lorsque Wen fut sortie il y eut un silence puis Enjan demanda :
— Pourquoi attendre demain pour commencer à essayer de me tuer ?
— Tu préférerais qu’ils t’envoient un assassin dès ce soir ? s’inquiéta Kahlan, sceptique.
— Bien sûr que non, mais c’est étrange quand même.
— Je pense que si tu mourrais trop vite après ton père, les gens auraient des soupçons, expliqua Seiren. Mais il ne faut pas non plus qu’ils te tuent trop longtemps après que tu ais pris le pouvoir, surtout si les choses s’améliorent, sinon le peuple sera en colère.
Personne ne répondit.
Dans?/En? tous les cas, je suis soulagé de vous savoir ici, se félicita Enjan en s’étirant.
— Et moi d’être ici, répliquèrent vivement les deux autres en même temps.


Merci d'indiquer la bonne réponse pour la phrase en gras ^^

Avatar de naniquolas naniquolas Mode Lecture - Citer - 08/01/2012 12:58:59

En tout les cas.

Si je puis me permettre : "répliquèrent vivement les deux autres en même temps" : le "en même temps est peut-être en trop, non ? on comprend très bien sans...

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 08/01/2012 16:48:07

merci nani!!

— Je pense cependant que, par exemple, sur un champ de bataille… si je vois que quelqu’un pourrait me trahir et me planter un couteau dans le dos, je n’hésiterais pas à le tuer. Même si je préfèrerais (préférais ou préfère) une alternative à cette solution. Mais si rien ne me vient à l’esprit…


rayer la mention inutile ...

— Continuez ainsi, répondit Enjan en se retirant, et ce sera un plaisir de travailler avec vous.

ce ou se?

Ou du moins pas tout à fait.

a ou à?

Avatar de naniquolas naniquolas Mode Lecture - Citer - 08/01/2012 21:25:00

préférerais, je pense. Quant aux deux autres trucs, tu les a bien écris du premier coup !

je vais encore faire mon embêteur mais "une alternative à cette solution" c'est un peu long non ? Une autre solution ? toute autre solution ? Trouver une alternative ?

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 08/01/2012 23:56:34

(ce n'est pas toi, j'ai dénichée une nouvelle lectrice... qui pensait qu'elle aurait pas le temps avant longtemps de lire le tome un et qui m'a envoyé des corrections à 4h du matin... ça te rappelle quelqu'un ? :p)


Grand SourireGrand SourireGrand Sourire

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 10/01/2012 20:31:27

Spoiler - Afficher

"Si tu en as le courage et le temps, continue car je pense que cela en
vaut la peine." Citation de papa de Wen.
Il y a des petits mots qui font chaud au coeur Grand Sourire

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 11:50:43

"Je n’avais aucune preuve à part leur parole."

par ou part??? Quelle règle pour trouver ça??

Avatar de UnAutreLapin UnAutreLapin Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 12:09:06

Je sais pas ^^