Bonjour, bonjour petits -mais costaud- gens de l'Omega.
Depuis un peu plus d'un mois maintenant, je me laissé imposer un petit exercice pour lutter contre une panne d'inspiration, de motivation ou simplement un gros blocage -ou syndrome de la page blanche-. Le principe est très simple: sur mes jours de repos (aka quand je ne fais pas des burgers), je me donne un quota de mots à écrire. Peu importe en combien de textes, peu importe le sujet ou même la forme. L'important est de remplir mon objectif.
Sachant que dans mes périodes fastes et productives, je suis capable de taper entre 1000/1500 de l'heure (je ne compte pas le temps de lancement/echauffement), je me suis d'emblée donner un quota de 3000 mots par weekend. Ce n'est ni trop peu, ce qui décrébiliserait le challenge parce que ca serait bien trop simple, ni trop, ce qui pourrait aboutir à l'échec du challenge et à un sentiment de découragement. Parce qu'au final, le but de cette entreprise est de booster ma confiance et ma motivation.
En terme d'écriture, le principe est un peu similaire à celui du "speedpainting" en dessin. L'idée est d'écrire sur l'envie, l'impulsion et parfois même se laisser aller à l'improvisation. Pas la peine de chercher à préparer le roman du siècle ou la nouvelle qui va remuer des foules. La plupart du temps, c'est du premier jet, sans relecture ni travail antérieur. Du coup, c'est fort possible qu'il y ai, à mon grand désarroi, pas mal de fautes ou d'oubli de mots. Je m'en excuse.
A mi-chemin, j'ai malheureusement dû faire face à un soucis d'ordre matériel: mon ordinateur est tombé en panne. J'ai malgré tout réussi à continuer d'écrire en bidouillant une installation qui met à rude épreuve mes nerfs mais qui me permet de remplir ce challenge. J'en suis actuellement à la quatrième session et la 5eme arrive demain.
Vous pourrez retrouver les 4 premiers challenges sur mon blog d'écriture et je compte les réunir par sessions pour les mettre en ligne sur wattpad.
- Sur mon blog:
http://wordsinfinity.tumblr.com/tagged/objectif-weekend
- Sur wattpad:
https://www.wattpad.com/story/41626344-objectif-weekend
Si jamais certains/certaines d'entre vous décide de s'essayer à cette gymnastique, n'hésitez pas à partager.
Ps: Désolée, je poste depuis mon téléphone c'est un peu laborieux...
Je me suis toujours dit qu'un jour, il faudrait que je me fasse un challenge de ce genre...
C'est un bon exercice qui commence à faire ses preuves pour moi en tout cas. Hormis le problème évident qu'est le fait de ne pas avoir d'ordinateur, l'écriture se fait de façon bien plus naturelle à chaque fois. Les idées aussi viennent plus naturellement.
A long terme, je pense essayer de m'imposer des thèmes pour me forcer progressivement à me focaliser sur une chose précise et apprendre à ne pas me disperser quand je travaille sur un projet.
De mon côté, voilà ce que j'essaye :
Chaque jour (vise la lune, tu atterriras parmi les étoiles^^), je me pose une heure, et j'écris. Pas plus de dix secondes de préparation, en m'interrompant le moins possible, en essayant de faire un truc qui a un minimum de gueule au niveau du style et une histoire qui ne part pas dans tous les sens, même si ce n'est pas obligatoire de la finir. Le but : améliorer mon rendement et diminuer mes hésitations. Pour l'instant, j'en ai fait deux : un à 850 et un à 1150 mots. Je posterai peut-être ceux qui me plaisent le plus, à la fin !
Avec mes horaires complètement chaotique au milieu des bigmac, j'avoue que je ne peux pas mettre en place un objectif quotidien même si j'en rêve. Alors tu as toute mes félicitations pour ces objectifs ultra pointu!
J'espère que tu finiras sur la lune en plus des étoiles!! Et j'espère que tu partageras tes favoris! o/
Edit: Rajout du lien vers WattPad sur le premier post.
Bon, ma détermination légendaire n'a pas tenu bien longtemps, mais j'ai quand même fait quatre textes en cinq jours, avec un maximum de 2100 mots par heure pour le dernier. Je vous en fait partager deux (pas retravaillés), un étrange et un western (probablement le seul que j'écrirai jamais^^) :
Ahanant et suant, il se dirige péniblement vers le prochain obstacle. La transpiration lui pique les yeux et trempe son T-shirt. Il souffle comme un bœuf courant après une ferrari. Il prend son élan et parvient à se soulever assez pour s’accrocher à la barre. Freddy Mercury hurle dans ses oreilles : « Show must go ooooon ! ». Il ordonne à ses biceps de se mettre au travail. Péniblement, il se hisse de quelques centimètres. Son visage rond rouge et chaud est encore loin de dépasser ses poignets. Il tend le menton vers le haut pour se donner l’illusion de monter encore un peu puis, n’en pouvant plus, il ordonne une pause à ses biceps. Il reste comme un imbécile, les jambes pendouillant au-dessus du vide comme un cochon chez le boucher. « Show must go ooooon ! » Gémissant de plus belle, il se hisse à nouveau. Ses muscles lui font horriblement mal et il a l’impression que toutes les veines de son corps vont exploser sous la pression. En tirant encore son menton vers le ciel, il parvient dans un effort ultime à toucher son poignet, et retomb mollement sur le sable en poussant un soupir de soulagement et de douleur. De petites mouches noires dansaient devant ses yeux et son pouls fait autant de boucan qu’un tambour de guerre. Allez mon gars, c’est pas fini !
Il contemple quelques secondes son gros ventre mou qui lui cache ses grosses cuisses molles, il redresse son gros cou gras et se remet sur pattes. Le mp3 envoie un morceau de métal à se décoller les tympans. Il pousse un hurlement guerrier et repart en soufflant. Mal aux pieds. Mal au dos. Mal au cul. Mal aux jambes, mal au bide, mal aux bras, mal au coeur. Rien à foutre ! Il ne s’était jamais senti aussi bien. Il trottinait avec la rage d’une guitare électrique, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, et le parc était pour lui un stadium olympique.
Les gonzesses bien roulées, les mecs baraques et musclés, les agent d’entretien, les amoureux romantiques, les promeneurs placides, les gosses qui se marraient lui jetaient des regards étonnés de dégoût qui glissaient sur sa couche protectrice de crasse de sueur et de graisse. Rien à foutre, il se jurait qu’un jour, bientôt, ils lui jetteraient des regards d’envie. Marre de moisir affalé dans ce corps même pas assez gros pour y vider tout son mal-être, ras-le cul des jolis yeux qui se détournent et des yeux cruels qui s’attardent, de tous ces attardés, de tous ces abrutis qui pavanent avec leur jolie vie et leur joli corps, de toutes ces filles qui lui montrent leurs jambes qu’il n’aura jamais le droit de toucher. La batterie se déchaînait tandis qu’une piste de saut en longueur se profile sur sa gauche. Sans hésiter il accélère l’allure, fait trois pas lourds et puissants, et se projette en avant. Il s’étale de tout son long dans le sable et le solo de guitare est coupé net. Rien à foutre. Rien à foutre des pies qui se moquent et des gosses qui se mettent des coups de coudes en le montrant du doigt. Rien à foutre de bouffer le sable de l’arène. Il se relève, courbé par la fatigue. Il crache le sable qu’il a dans la bouche, s’essuie la bouche avec sa manche, remet ses écouteurs qui l’accueillent avec la 5eme symphonie de Beethoven. Se sentant investi d’une grâce et d’une majesté incontestable, il se remet en marche, accélérant petit à petit. Il a envie de vomir. ça ne change pas de d’habitude. Il se laisse enivrer par les coups d’archets et les pétarades des cuivres pour oublier que tout son corps menace de lâcher en même temps, pour oublier qu’il ne sait pas où il va et qu’il n’a personne dans sa vie, même pas un chien pour courir à côté de lui, un chien qui se ficherait de savoir si son maître est une bimbo de magazine ou un vieux porc dégoulinant, un chien sur qui il pourrait hurler hurler hurler encore et qui l’aimerait quand même et qu’il pourrait frapper : il a envie de frapper tout le monde, il court en grognant et la bave suinte de sa bouche trop sèche où restent quelques grains de sable. « La trentenaire à la poussette, bam ! Mon gros poing dans ton pif. Le prof de gym, je t’attrape la tête et je l’explose contre mon genou. Et ce gosse sur le chemin, je le chope et je me laisse tomber sur lui, façon prise de catch, et ça fera un drôle de bruit quand je l’écrabouillerai, et ça giclera de partout » Marre d’être sympa, marre de faire le gros marrant, le bon gros con sur qui on tape… On verra ce qu’on verra. Il fondra. Il ne restera plus que le noyau, le dur, le sec, le propre, le truc qui sent plus rien , solide comme un roc, musclé comme un lion. Putain de point de côté ! Rien à foutre du point de côté. Il court de plus belle, crachotant, trébuchant, les traits crispés de douleur, il bouscule en boîtant tous ceux qui se mettent en travers de son chemin. « Connard », il entend derrière lui… Une crampe monstrueuse lui arrache un cri et il s’écroule. Se relève. S’écroule. Il a la bouche sèche. La tête qui tourne. Se relève. S’écroule. Les mouches devant les yeux. Un vol d’orchestre symphonique dans le cerveau. Il est fatigué. Fatigué…
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« Monsieur, vous m’entendez ? Si vous m’entendez, ouvrez les yeux. Serrez-moi la main ! Monsieur ? » Il serra la main. « Vous allez bien » ? Il ouvre les yeux. La fille retire brusquement sa main, et l’essuie d’un air gêné sur son jean. Une vieille et quelques badauds contemplent la scène, à une distance respectable. Ils chuchotent. ça résonne. «Faut le mettre en PLS ». « Faut appeler le SAMU ». « Les pompiers ». « Il est trop gros, il arrivera jamais à se relever ». « Ouais, les pompiers ». L’envie de vomir revient. Il veut bouger. ça résonne…
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Monsieur, vous m’entendez ? Si vous m’entendez, serrez moi la main. Serrez moi la main ! Ouvrez les yeux. Une grosse voix de prof de gym. Il serre la main, aussi fort qu’il peut. Il veut en faire de la bouillie. Mais il remue à peine. « C’est bon les gars, il est conscient . Bon, on va le charger. Je prends la tête, vous êtes prêts. ? Il voit le beau visage carré et poivre et sel se pencher au-dessus de son visage. Il veut lui cracher dessus, mais il ne réussit qu’à faire couler un mince filet de bave au coin de ses lèvres. Il sent qu’on lui glisse quelque chose sous le dos. Il grogne. Il se débat. « Calmez-vous, monsieur. Tout va bien, calmez-vous ». Il réussit à redresser la tête. Il sent une main sur ses épaules. Il prend appui sur ses coudes. La main sur son épaule veut le recoucher. Lui, il veut se relever. « Connard », il parvient à hurler, et la main le lâche. Il se redresse encore. Ses oreilles sifflent. Il a envie de vomir. Il se met à quatre pattes. Plante les pieds dans le sol. Pousse sur ses jambes. Tremblotant, il s’escalade doucement. Quand il est entièrement debout, il se tourne vers le visage poivre et sel, et plante ses yeux dans les siens, affolés. Lui, il est calme. Lui, il ira au bout. Il appuie lourdement son regard, écrasant le beau visage carré de toute sa masse. Puis il se détourne et, lentement, il se met à marcher.
« Ecoute, Jack. On sait très bien comme ça va se finir, tout ça.
-Peut-être, John. Peut-être pas. Mais pour toi, ça va s’finir en enfer.
Les deux hommes se tenaient presque l’un contre l’autre. Le menton relevé en signe de défi, caressant machinalement leur colt de la main droite, les yeux dans les yeux, les yeux plissés par le soleil, le soleil dur et étouffant qui ne perdait pas une miette de la scène. Mâchouillant bruyamment, accoudés à la porte du saloon, le mexicain et son acolyte squelettique observaient la scène avec des yeux habitués de vaches regardant le train passer.
« Tu sais Pedro, je crois bien qu’il y a du plomb dans l’air.
- Du plomb, j’sais pas, mais j’pense bien qu’le croque mort a pas fini sa journée… »
Jack passa la main dans ses cheveux moites. Noirs comme il les avait, le soleil le cuisait douloureusement. John esquissa un sourire moqueur. Son vieux crâne chauve ne le protégeait pas davantage, mais il avait l’habitude de la fournaise. D’aucun racontaient que ce vieux John avait passé un mois dans le désert sans eau et sans nourriture, à avaler des insectes et du jus de cactus. John le coriace, qu’on l’appelait. Quatre shérifs à son actif, et bientôt un cinquième. John le coriace, il ne bougeait pas d’un pouce. Ses petits yeux de vautour se repaissaient du spectacle bien connu de l’autre qui devient nerveux, qui hésite, qui n’ose pas. Ils pensent trop, les shérifs. C’est pour ça qu’ils meurent vite. Lui, avant de tirer, il bouge pas, et quand c’est le moment, il a déjà tiré. A son âge, c’est pas bon pour le cœur, de trop s’agiter.
Tentant de se reprendre en démontrant sa virilité, Jack propulsa une énorme glaire qui vint se ficher entre les deux santiags du vieux vautour, laissant une auréole plus foncée dans la terre ocre. Le coup de feu du vieux vautour, lui, laissa une auréole plus foncée au milieu de la chemise, juste à côté de l’étoile. Dans un dernier réflexe, sa main te tend vers son colt. Mais une autre main, ferme, glaciale, se pose sur la sienne et l’empêche de dégainer.
« Tsss, mon pauvre petit Jack. Tu tires bien, c’est vrai, mais faut tirer au bon moment. Vous pensez trop, vous autres shérifs. C’est pour ça que vous mourrez vite… »
A la porte du saloon, le grand maigre pose dix dollars dans la paume de son patron, en soupirant.
Jack soupire, tombe à genou. Du pied, John le fait basculer sur le dos. Le corps qui s’écroule remue la poussière.
-On se retrouve en enfer, alors, petit. J’espère que là-bas on t’aura mis un peu de plomb dans la cervelle !
Il eut alors ce rire étrange, inspirant et expirant à petits intervalles saccadés tout en aspirant sa salive. Quelque chose du chien qui halète et du chacal qui se marre. Un rire célèbre dans la région, qui en avait fait frissonner plus d’un. « Désolé, les gars ! » Reprit-il, grinçant, en direction des volets fermés de cette grande rue de petit patelin. « On dirait que le shérif a eu un petit accident, va falloir qu’il soit remplacé pour quelque temps. Vu qu’il m’aimait bien, je suppose que vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que je récupère son étoile ! ». Et de nouveau ce rire liquide et chuchoté. Il se pencha doucement sur le corps, recoiffa un peu les cheveux bruns du cadavre, et se permit un petit soupir dramatique. D’un seul geste, mais sans se précipiter, il détacha l’étoile dorée, et se l’accrocha sur la poitrine. A côté de ses quatre jumelles. Il fit signe aux deux témoins d’approcher.
« Pedro, tu seras mon adjoint, comme promis. Manolo, mon gars, bienvenue dans la police ». Le grand maigre hocha la tête en signe de reconnaissance, et Pedro tapota l’épaule du vautour. « Ce que j’aime bien avec toi, John, c’est que tu perds pas ton temps. On va visiter ton nouveau bureau ? »
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La porte du poste de police s’ouvrit sur trois étonnantes ombres chinoises découpées par le soleil : le bon gros pedro et sa carabine, le vieux John et son colt, et Manolo le grand sec qui jouait avec ses couteaux. Il allait enfin pouvoir s’amuser.
Les quatre flics roulèrent des yeux affolés. « Pas un geste ! » Tenta l’un d’eux, mais sa voix s’étrangla sur la fin de sa phrase, gêné par le couteau qu’il avait en travers de la gorge. « Déconnez pas, les gars, le shérif est foutu. » Pedro parlait calmement, d’un ton paternel de bon paysan « Moi, ce que je vous suggère, c’est de poser vos armes et de vous tirer vite fait. ». « Après, c’est vous qui décidez », reprit-il en armant se Winchester.
Les trois potentiels cadavres jugèrent la suggestion pertinente, et filèrent sans demander leur reste. Le grand sec eut un air déçu en les regardant passer.
Le vieux John s’installa tranquillement dans le fauteuil du premier mort de la journée. « Merci Pedro. Va me chercher une bière, tu veux, on va fêter ça. ». Derrière la grille, les deux prisonniers restaient silencieux. Un gosse d’une quinzaine d’années, barbouillé de crasse et de suie, se tenait dans un coin, la tête posée sur les genoux. Un alcoolique ventru affalé contre le mur dévisageait John d’un air intéressé.
« Toi petit, t’es là pour quoi ?
-J’ai buté mon père, m’sieur ! Murmura le gosse.
-Tu me plais bien, mon gars. Tu sais utiliser un colt, petit ?
-Un peu.
-T’apprendra ! ça te dirait de bosser pour moi ?
-Je sais pas m’sieur, mais je veux pas rester ici.
-C’est bon, petit, bienvenue dans la police. Comment tu t’appelles ?
-Sean, m’sieur. Petit Sean, c’est comme ça qu’on m’appelle. »
Pedro revint avec les bières, et s’assit à côté du chef. Ils trinquèrent aux nouvelles forces de l’ordre, en mêlant leurs rires dans un ensemble étrange. Ils burent deux ou trois gorgées, bien fraîches, et poussant de petits soupirs d’aise.
« Et toi, le déchet, pourquoi t’es là ?
Le ventru fit une grimace édentée.
-Ivresse sur la voie publique, j’crois bien.
-L’ivresse est interdite dans ma ville. Manolo, bute-le. »
Le grand sec eut un sourire d’enfant ravi, et après avoir joué quelques secondes avec sa proie, il lança son couteau qui se ficha dans la bedaine du prisonnier avec un bruit sourd. Il glissa le long de son banc et s’écroula dans un gargouillis.
« Tu vois, petit Sean, reprit John. C’est ce qui arrive à ceux qui se croient au-dessus des lois ! »
Il haleta de plus belle. Le gosse sourit. Un sourire carnassier mêlé de respect et d’ambition. D’étonnement aussi. Peut-être d’un fond de pitié.
« Je vois, boss. J’ai pigé le message. »
Sur un geste de John, Pedro s’empara des clefs sur la table et ouvrit la cellule. « Tiens, petit, ordre de l’adjoint du shérif : va dire au croque-mort que les affaires reprennent ». « On va nettoyer cette ville de toute cette putain de vermine ! »
PS : Mugenjo, désolé, j'ai un peu squatté ton topic ! Si tu veux je peux aller poster dans un autre sujet....
Non non c'est parfait! J'ai fais le topic justement pour ça. Sachant que je les poste sur des média extérieurs, je ne les poste pas ici histoire de.pas.vous encombrer.
Pour ma part, petit hiatus forcé pour cause de JapanExpo où je vais en tant qu'exposant (vendeuse), donc deux challenges passent à la trappe à mon grand regret. Il s'avère que je n'ai pas aussi réussi à atteindre le dernier objectif mais je me suis rattrapé dans la semaine qui a suivit pour compenser.
Pour le moment je suis assez fière de tenir le rythme. Je commence à être de plus en plus à l'aise dans mes impro'.
J'ai hâte de reprendre après la JapanExpo (je serais sur le stand Shawry en K98 si jamais vous voulez passer!).
Hé bonne JE Mugenjo !!!
Moi aussi je faisais cet exercice avant (quand je n'écrivais plus à cause de mes études, pour pas perdre la main). j'avais fait ce site et on se faisait des challenges avec un groupe d'amis :
http://rendezvousdesecriveurs.blogspot.com/ (je crois que j'en ai déjà parlé sur le forum d'ailleurs je sais plus où) on avait fini par faire un recueil de 150 pages, trop cool
Je t'encourage à continuer (je vous encourage ^^), parce que ce genre d'exercice est vraiment super importants et enrichissant. malheureusement je participerais pas car je travail en ce moment sur un roman et donc j'écris tous les jours sans problème ^^''