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Arbre

Le Temps des Rêves

Avatar de likelovecraft likelovecraft Mode Lecture - Citer - 05/08/2013 22:58:06

1 Les ailes métalliques, creuses, épousaient parfaitement la forme de celles de Seiren,



2 et on avait même pensé à mettre deux articulations pour qu’elles soient libres de leur mouvement.
La première se trouvait tout contre son dos, à la base des ailes, afin qu’il puisse les replier comme il avait l’habitude de le faire. La deuxième se trouvait au niveau du coude, pour qu’il puisse les étendre complètement où les replier à moitié selon son bon vouloir. ''


Est-ce que l'un ne va pas presque automatiquement avec l'autre? Je trouve le 2 un peu lourd.

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 06/08/2013 09:39:32

Le 2 complète le 1, car épouser la forme de quelque chose ne veut pas dire le laisser libre de ses mouvements, ça peut être une coque solide par exemple... cependant il est vrai que la formulation était difficile, c'est un extrait du premier jet et je n'avais pas encore fait d'étude d'armure, donc je manquais un peu de vocabulaire ^^ de toute façon, ce passage a été supprimé haut et court comme je l'expliquais :p (même s'il est vrai que je n'ai pas clairement dit ''voici une scène coupée'' ^^)

Avatar de likelovecraft likelovecraft Mode Lecture - Citer - 06/08/2013 13:14:51

D'accord.

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 06/08/2013 13:36:35

(d'ailleurs si quelqu'un a un site internet plus compétent que wikipédia - qui est déjà pas mal - sur les armures, je prends Clin d'oeil )

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 06/08/2013 17:27:00

=> à mettre dans l'Empereur 2 - avis & corrections

scène coupée de ouf (ou plutôt réécrite, donc pas vraiment coupée) ^^ (attention spoiler) c'est dommage qu'il ne garde pas mes commentaires quand je copie colle.


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Ils se dépêchèrent de rassembler ce dont ils avaient besoin. Seiren insista pour qu’ils emportent le plus de provisions possible. Il se sépara de sa nouvelle armure, ne gardant que les pièces qui protégeaient les ailes [et le haut du torse ?]. Ils étaient partis pour se battre sans cesse, il préférait pouvoir bouger à l’aise qu’être bien protéger et ne pas pouvoir bouger. Son père revêtit aussi une semi-armure. Seiren se demanda un instant si c’était bien raisonnable pour lui d’aller au combat, le temps ne l’avait pas épargné, et Seiren doutait. Le vieux Noble aurait-il la force de supporter les combats ? Les bandits ne seraient pas aussi prompts à le ménager que lui... Ils demandèrent à quatre soldats de la garde privée du Noble de les accompagner, ils partagèrent les vivres et partirent au galop. Chaque centile comptait. Seiren espérait arriver avant que tous les habitants de Corona ne soient rentrés dans leurs maisons, afin de profiter de la confusion et passer sans problème.


Lorsqu’ils arrivèrent aux abords de la ville, ils ralentirent l’allure. Tout autour, dans les champs, d’immenses feux brûlaient. L’épaisse fumée les empêchait de voir quoi que ce soit. Seiren se protégea le visage en enroulant son foulard de réserviste autour de sa bouche et son nez. Les autres soldats l’avaient imité. Lorsqu’ils sortirent de l’écran de fumée, ils eurent l’impression que tout était normal. Ils se reprirent bien vite lorsqu’ils virent que les soldats en haut des murailles n’étaient pas en uniforme de réservistes mais habillés de façon dépareillée, armés de tout et n’importe quoi. Avant que Seiren ait pu décider de faire quelque chose, ils entendirent des cris d’alerte se répercuter sur le mur extérieur, qui était en bois. C’était l’avantage qu’avaient les assaillants en arrivant à Corona : la cité s’était tellement étendue qu’on n’avait pas pu construire de nouvelle muraille, seule une palissade de bois protégeait la Capitale

Seiren se mit à calculer les choses rapidement. La Caserne du Nord se trouvait à l’intérieur de la première muraille de la ville. En temps normal, il mettait trente centiles pour traverser la ville entre la palissade et la muraille. Avec les bandits, ils devraient ruser et emprunter des chemins détournés, ils en auraient au moins pour un demi-décile, le temps que toute la ville soit au courant, et ils seraient piégés. Ou alors, ils pouvaient foncer sans réfléchir, droit vers la Caserne, et espérer passer. Ils avaient des chevaux, les rues étaient normalement désertes d’habitants et seules des patrouilles de bandits devraient se trouver sur leur route.

Des cris le ramenèrent à la réalité.
— Toi et toi ! s’exclama-t-il en désignant deux des soldats. Faites le tour de la palissade, chacun d’un côté, voyez s’il y a un moyen d’entrer
— Oui Sergent ! s’exclamèrent les soldats en cravachant leurs chevaux.
Ils partirent à bride abattue, collés au cou de leur monture pour aller encore plus vite. Seiren talonna son cheval pour qu’il fasse demi-tour et rentre légèrement dans l’écran de fumée. Son père adoptif et les soldats qui restaient l’imitèrent. D’un geste, Seiren imposa le silence à la petite troupe, il voulait entendre ce qu’il se disait sur la palissade. [son ouïe d’Ange ?]
— Suivez-ces cavaliers ! ordonna une voix puissante.
Seiren était certain de la connaître. Il interrogea son père du regard, mais le vieil homme ne semblait pas entendre ce qu’il se disait là haut.
— Que deux d’entre vous restent ici, au cas où ils reviennent.
— Oui, Seigneur.
— Au travail, incapables !
Seiren avança un peu pour pouvoir observer les soldats sur la palissade. Ils se dispersaient. De la personne qui avait donné les ordres, il n’aperçut que vaguement la silhouette. Impossible de l’identifier.




Et une nouvelle scène suit (pour éviter à Seiren d'ouvrir des ponts levis depuis l'extérieur d'une ville...), avec la présentation d'un nouveau personnage : Aleji (dans toute sa logique, pour ceux qui le connaissent) :
L’apprenti Poète ouvrit la bourse de cuir qu’il portait à la ceinture et en sortit un morceau de viande séchée. Il le coinça entre ses dents, le laissant à moitié dépasser de sa bouche. Les épices qui parfumaient la viande lui brûlèrent les papilles. C’était désagréable au possible mais il adorait ça.

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 06/08/2013 19:33:29

Yeah Aleji ! Bon travail Clin d'oeil

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 07/08/2013 09:19:34

On dirait un inspecteur des travaux en cours XD

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 07/08/2013 10:35:59

En ce moment je corrige en écoutant ça :

c'est juste trop le pied *. *

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 12/08/2013 13:43:26

=> à mettre dans l'Empereur 2 - avis & corrections

Une nouvelle scène pour régler un problème que je n'avais pas encore géré :

Seiren se dépêcha de monter vers la cantine. Avant toute chose, il devait s’informer de la situation. Dans un couloir, il croisa un réserviste qui le reconnut. Pourtant, un air effrayé se peignait sur son visage.
— Ser… serg-sergent…
Seiren lui lança un regard interrogateur.
— Sergent ! Vous avez…
L’Ange compris soudain ce qui apeurait le réserviste.
— J’ai des ailes peut-être ?
Le pauvre homme hocha la tête frénétiquement.
— Soldat, l’ennemi nous réserve des surprises bien pires, j’espère qu’alors vous ne resterez pas à bégayer ainsi !
Interdit, le réserviste le fixa avec des yeux pleins d’incompréhension.
— La rumeur court depuis longtemps que je suis un Ange, où étiez-vous pour avoir raté cette information ?
— Je n’avais pas fait le rapprochement…
— Entre être un Ange et le fait d’avoir des ailes ?


(voilà, qu'on dise pas que je mette que des trucs pourris sur ce topic :p)


(scène coupée :

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dommage j'aimais l'idée de déchirer la chemise de Seiren... mais bon, il suffit de la déboutonner pour accéder à son torse, pas la peine de la retirer entièrement. Donc...
Au bout de cinq centiles, le Soigneur abandonna. Il saisit une lame dans sa sacoche de soins et découpa la chemise. Il ne comprenait rien au système qui permettait d’enlever la chemise, les ailes de Seiren le gênaient et il ne pouvait pas se permettre de gaspiller du temps pour sauver une chemise.)

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 14/08/2013 15:23:23

=> à mettre dans l'Empereur 2 - avis & corrections

couper 5 pages du premier jet de son roman, c'est un peu faire de la haute voltige sans filet pour vous récupérer en cas de pépin ^^ (réflexion du jour bonjour)


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— Bouclier ! s’exclama Vincent en se débarrassant de ses cordes. Thomas répète ou nous somme mort !
Terrorisé, l’apprenti regarda la foule de malfrats se précipiter sur eux. Il les voyait, armés, enragés, hurlants comme des monstres, ils se jetaient sur lui comme au ralenti.
— Thomas ! Ecoute-moi ! lui ordonna Vincent.
Comme un automate, le garçon tourna la tête.
— Répète ! Bouclier !
Il n’hésita même pas, ne réfléchit même pas.
— Bouclier ! s’exclama Thomas.
L’air autour du garçon crépita puis un champ d’énergie, bleu magnétique, l’entoura.
— Plus grand ! s’exclama Vincent en regardant l’épée d’un des bandits s’approcher dangereusement de son cou.
— Plus grand ! répéta l’apprenti.
Le bouclier s’étendit autour du Poète et du Magicien.
Le champ de force passa devant Ervin au moment même où la première vague de bandits se jetait sur lui. Il entendit un « clang » métallique résonner lorsque les dizaines d’épées se heurtèrent au bouclier du jeune apprenti. Il ne put s’empêcher de porter ses mains à ses oreilles et de fermer les yeux, pour ne pas voir. En haut de la muraille, des acclamations de joie retentirent. Etonné et soulagé, Ervin se décontracta un peu. [quand assaut : quelques bandits tentent attaquer par les toits mais IL PLEUT = glisse et puis trois archers les enlèvent direct] [entrée par les égoûts ? passage secret ? pas les toits ?]
— Que fait-on maintenant ? demanda-t-il. Il ne pourra pas tenir longtemps, ajouta-t-il en indiquant Thomas du doigt.
Vincent serra les dents et réfléchit. Il n’aurait jamais la force de les faire monter tous les trois et il ne pouvait pas imposer ça à Thomas. Le Magicien non plus ne pouvait pas les sortir de cette situation. Pour finir, Seiren ne ferait jamais ouvrir les portes, c’était bien trop risqué. Leur unique chance d’entrer était de contourner la caserne et de passer par la porte arrière, celle qu’avait utilisée le garçon pour s’enfuir. [comment il sait ? il le suivait ?] Pour cela, ils devaient traverser cette marée humaine et prier pour que personne ne les suive.
— Allons à droite. Est-ce que vous pouvez le porter ? demanda Vincent.
— Ça ira, assura le Magicien en attrapant l’apprenti par les épaules.
Rapidement, il le fit monter sur son dos. Thomas ne protesta pas. Il était entré dans une sorte de transe et ressemblait à une poupée qui obéissait à tous les ordres de Vincent.
D’un commun accord, les deux adultes se mirent à longer la muraille. Serrant les dents à chaque fois qu’un des bandits abattait sur eux son épée, de peur que le bouclier de Thomas les lâche au mauvais moment. Au début, ils avancèrent difficilement. Vincent dut même dégainer ses deux couteaux d’argents [mine] pour frapper les brigands hors du bouclier afin de dégager le chemin. Ervin voyait bien que le Poète était en train d’atteindre ses limites. Bien que ses gestes soient toujours aussi précis, aussi magiques, comme lorsqu’il l’avait vu combattre la veille, il semblait de moins en moins conscient. (il ne l’a pas vu) Comme Thomas, son corps paraissait agir tout seul. Finalement les bandits, plus intéressés par les cibles qui se trouvaient en haut de la muraille, les oublièrent et ils purent enfin passer le mur humain que formaient les brigands. Dès qu’ils le purent, ils tournèrent dans une rue adjacente. Ervin inspira, profondément soulagé. A partir de maintenant ils devraient pouvoir rejoindre la porte arrière sans problème.

EPEE

Sur la muraille, Seiren s’efforçait encore de cacher sa douleur mais il sentait bien qu’il ne tiendrait plus longtemps. Les brigands s’acharnaient sur la porte d’entrée et n’essayaient pas de grimper au mur. En remarquant cela, le Sergent fut soulagé. Les brigands devaient être en train de réfléchir à un moyen d’escalader la muraille. Ils ne trouveraient nulle part en ville des échelles assez grandes et assez solides pour pouvoir les utiliser. Le mur était lisse et l’escalader sans rien serait difficile. Ils devraient demander à des personnes haut placées dans leur hiérarchie de venir. Dernière solution, réquisitionner tous les meubles alentours et faire une grande montagne jusqu’à arriver en haut de la muraille. Dans ce cas, les réservistes avaient tout le temps qu’il leur fallait pour se préparer à les recevoir. La hiérarchie des bandits était établie en fonction de la force et des talents de chacun. Actuellement, il n’y avait aucun problème dans la capitale – mis à part le Palais et l’Académie qui résistaient. Dans ce cas, plutôt que de prendre leur temps à empiler des meubles, les bandits iraient sûrement chercher un de leurs généraux. Ceux-là ne rechigneraient pas à venir. Ils n’aimaient pas Seiren, ils se feraient un plaisir de venir ici pour le détruire. D’autant que si sa caserne tombait, les gens du Palais et de l’Académie seraient démoralisés et la victoire deviendrait facile.
— Caporal, surveillez ces zouaves. S’ils commencent à monter un peu trop haut, assurez-vous qu’ils n’aillent pas plus loin.
— Oui Sergent !
— Vous trois ! s’exclama Seiren en pointant des soldats dans la cour en contrebas. Allez chercher de quoi étayer la porte. Leur assaut désordonné ne la fera pas céder, ajouta-t-il, mais lorsqu’ils apporteront un bélier il faudra être vigilant.
— Encore faut-il qu’ils apportent un bélier, ajouta Mixel en jetant un regard méprisant aux voleurs en bas qui se poussaient les uns les autres comme des bêtes.
Seiren descendit rapidement de la muraille et finit d’organiser les choses. Puis il se précipita dans la caserne.



Sa poitrine était en feu et sa fièvre revenait mais il ne pouvait pas s’arrêter maintenant. Sa tête tournait, son cœur battait si fort qu’il avait l’impression qu’on le lui avait transpercé d’un couteau. Il trébucha et faillit tomber. Finalement, il fallut bien qu’il s’arrête. Seiren s’appuya contre le mur de pierre qui bordait le couloir. Il était froid. L’humidité des pierres le rafraîchit. Il reprit sa respiration et repartit, un peu plus calmement. Mais il sentait aux bords de ses yeux des larmes de douleur se former. Il s’obligea à se concentrer sur le trajet, ne pas penser au futur, pour l’instant pas plus loin que les dix prochains centiles de sa vie en tout cas.
Enfin, il parvint à l’escalier qui descendait jusqu’à la porte cachée. Le souffle court, il poussa de tout son poids la porte d’entrée de la caserne. Elle était lourde, il s’étonna que Thomas ait réussi à l’ouvrir tout seul. « Avec la volonté qu’il faut on peut tout faire » pensa-t-il avec un brin d’agacement. Si seulement l’apprenti avait utilisé cette volonté à autre chose ! Lorsqu’il eut complètement ouvert la porte, elle se bloqua soudainement, plus tôt qu’il ne l’aurait cru. Cela lui fit perdre l’équilibre et il tomba encore. Il sentit un bras passer sous son ventre et le rattraper, juste à temps.
— Et bien… murmura Vincent.
— Merci, soupira Seiren en se relevant.
L’air inquiet Vincent entra, suivit du Magicien, qui portait toujours Thomas.
— C’était très bien, murmura Vincent à l’oreille de Thomas. Tu peux désactiver le bouclier maintenant.
Tandis qu’il parlait, il aida Ervin à asseoir le garçon par terre. Seiren rassembla la moindre parcelle de force qu’il lui restait pour refermer la porte. Alors qu’il allait s’atteler à la tâche, Vincent l’en empêcha.
— Je m’en occupe.
Il fit un léger mouvement de la main et la porte se referma toute seule. Seiren fut soulagé de ne pas avoir eu à le faire. Les torches du couloir les éclairaient bien et le Sergent put rapidement se rendre compte de l’état des trois compagnons. Le Magicien avait une petite blessure au poignet et sa joue droite bleuissait. Le Poète était de toute évidence épuisé. Il était beaucoup plus blessé que le Magicien et des traces de sang séché, sur son visage et ses habits, prouvaient qu’il s’était déjà battu avant d’arriver devant la caserne. Thomas semblait indemne, bien qu’un peu ailleurs, comme s’il se réveillait d’un long sommeil. Cependant, le plus important pour Seiren était de voir qu’ils étaient tous en vie. Dans un élan de fatigue, il se laissa choir par terre, adossé au mur.
Ils restèrent longtemps, tous assis par terre, à essayer de reprendre leur souffle. Au fur et à mesure, leur souffle se faisait de moins en moins audible, jusqu’à ce qu’on n’entende plus rien dans le couloir, que le doux crépitement des torches. C’est ainsi que Karim les trouva lorsque, inquiet de ne pas les voir remonter, il était descendu voir ce qu’il se passait en bas.
— Comment vont les choses en haut ? demanda Seiren en se levant difficilement.
Il sentit son estomac se contracter et eut un haut le cœur.
— Sûrement mieux qu’ici, commenta Karim en s’approchant de Seiren, inquiet. Je t’avais dit de ne pas forcer, murmura-t-il en colère.
— Allons dans mon bureau, proposa Seiren en ignorant la remarque du Soigneur.
Ervin et Vincent acquiescèrent, Thomas suivit le mouvement sans un mot. Les pensées semblaient se bousculer dans sa tête.
Seiren prit la tête du petit groupe. Il serra les dents en sentant un nouvel élan de douleur dans sa poitrine. Cette souffrance continue commençait à l’exaspérer.


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Thomas s’assit donc sur le fauteuil de Seiren avec timidité et fierté. Peu de personnes étaient autorisées un jour à s’asseoir sur les sièges des Sergents de Caserne et ce privilège faisait rêver tous les enfants des villes, même si plus personne ne savait pourquoi maintenant. Tout le monde avait oublié combien les réservistes étaient aimés et respectés avant les Grandes Guerres.

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 26/08/2013 18:20:44

parce que celle-ci, elle est vraiment drôle :
''Ses cheveux grisonnants étaient arrangés en une queue faite à la va-vitre d’où dépassaient de nombreuses mèches. ''

voilà, je retourne lire pour la 4ème fois mon tome 2

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 27/08/2013 10:25:41

=> à mettre dans l'Empereur 2 - avis & corrections

une scène coupée... me demandez pas pourquoi^^ je la trouvais inutile voilà. Dans ma grande intelligence je viens aussi de me dire qu'il serait intéressant de situer les numéros de page de mes extraits, comme ça si un jour vous relisez les livres et que vous voulez les avoir avec les scènes coupées... et bien vous pourrez venir en grappiller ici ^^

donc env. page 173 tome 2
Ce fut un soulagement d’avoir les deux Poètes à leurs côtés. Ils réussirent à dévier tous les tirs des archers sur les toits et il y eu beaucoup moins de blessés. [et l’abris ? du coup il faudrait quand même qu’ils le fassent car les poètes seront pas toujours là. ils auraient pas pu le construire avant = acte de guerre, préciser que de l’autre côté ils commencent à se poser des questions] Même l’apprenti maîtrisait l’art du combat à merveille. Au bout du décile, ils restèrent sur la muraille, apparemment pas du tout fatigués. Seiren s’émerveilla de leur endurance. Lui-même serait bien resté, mais il devait continuer à vérifier que tout allait bien en bas. A regret, il quitta la muraille. C’est alors qu’une étrange impression le saisit, alors qu’il descendait les escaliers. Inquiet, il se demanda si ce n’était pas le mal qui l’avait rongé la veille qui revenait. Mais finalement, l’impression s’estompa. Les sourcils froncés, il se dit qu’il avait dû prendre un mauvais coup. Pourtant, cette sensation ne lui était pas inconnue, elle ressemblait à celle qu’il avait eue lorsqu’il avait rencontré Kahlan. Intrigué, il leva les yeux vers la muraille et vit Aleji en train de se battre comme un diable contre trois hors-la-loi qui avaient passé le parapet. Comme s’il se sentait observé, l’apprenti Poète tourna un instant ses yeux vers l’Ange et lui sourit. Ce sourire redonna du courage à Seiren sans qu’il sache bien pourquoi.

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 27/08/2013 11:06:57

Alejjiiiiiiiiii Grand SourireDiableTristeCruel

Avatar de Wensaïlie Wensaïlie Mode Lecture - Citer - 27/08/2013 11:41:04

=> à mettre dans l'Empereur 2 - avis & corrections

p 178 tome 2


Les deux Poètes, voyant le flux de bandits diminuer, décidèrent de descendre un instant de la muraille pour se reposer. Ils étaient trempés jusqu’aux os et la pluie n’avait pas encore l’air de vouloir s’arrêter. Elle était tellement forte que même les abris qu’ils avaient montés à la hâte pour se protéger des flèches lorsque les archers adverses tiraient ne servaient plus à rien. Seiren se trouvait encore là-haut, à peine fatigué, continuant à frapper, encore et encore, bien décidé à ne laisser aucun de ses ennemis aller plus loin que le parapet. Vincent évalua d’un regard la situation. Il décida de se joindre à Seiren et envoya Thomas aider Karim. Le garçon jeta un coup d’œil sur les remparts, où les combattants n’étaient que des ombres chinoises se découpant dans le fond noir de la nuit grâce à la lumière de la Lune. L’armure sur les ailes de Seiren brillait d’un éclat argenté. Thomas se sentait un peu triste. Il culpabilisait d’abandonner ainsi Sham et tous les autres réservistes, mais c’était plus fort que lui, il ne se sentait pas de supporter plus longtemps l’autorité du Sergent. En le voyant combattre, il sentit une pointe d’admiration percer son cœur, mais il l’oublia tout de suite. Il y avait trop de colère en lui pour qu’il puisse se rendre compte combien il s’était attaché à l’Ange, comme à un grand frère.


Ne fais pas cette tête là, tu vas le redécouvrir dans ce tome, tu n'imagines même pas !

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 27/08/2013 11:50:36

Thomaaaas TristePleureTriste

(je sais je sers à rien là XD)