Chaque fleur s'évapore à l'âge des étoiles
Entre chien et loup, en bulles irisées
Et le souffle d'un dieu dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur de parfums échoués
Dispersant les regrets, ainsi qu'un encensoir.
Chaque fleur s'évapore à l'âge des étoiles
Entre chien et loup, en bulles irisées
Et le souffle d'un dieu, caressant les pétales
Délcatement passe, et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur de parfums échoués
Dispersant les regrets, ainsi qu'un encensoir.
Chaque fleur s'évapore à l'âge des étoiles
Entre chien et loup, en bulles irisées
Et le souffle d'un dieu, caressant les pétales
Délicatement passe, et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, souvenir qu'on oublie
De parfums échoués qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, ainsi qu'un encensoir.
Chaque fleur s'évapore à l'âge des étoiles
Entre chien et loup, en bulles irisées
Et le souffle d'un dieu, caressant les pétales
Délicatement passe, et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, souvenir qu'on oublie
De parfums échoués qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, en bulles irisées
Et le souffle d'un dieu, caressant les pétales
Délicatement passe, et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, souvenir qu'on oublie
De parfums échoués qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, la pensée monte au ciel
Libérant le pollen en bulles irisées,
Et le souffle d'un dieu, caressant les pétales
Délicatement passe, et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, souvenir qu'on oublie
De parfums échoués qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
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(après avoir passé 3 heures à tenter de comprendre et, ayant fini par me dire que j'allais sûrement me tromper, je me lance ^^)
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, à l'orée des sous-bois
Les herbes s'amenuisent, la pensée monte au ciel
Libérant le pollen en bulles irisées,
Et le souffle d'un dieu, caressant les pétales
Délicatement passe, et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, souvenir qu'on oublie
De parfums échoués qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
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Même si je me suis trompée j'adoooooore ce jeu !
Hihihi C'est très joli mais tu aurais du faire : (à savoir séparer le vers SUIVANT et non le vers qui vient d'être modifier)
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, la pensée monte au ciel
Libérant le pollen en bulles irisées,
Et le souffle d'un dieu, BLABLABLABLA
BLABLABLABLA, caressant les pétales
Délicatement passe, et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, souvenir qu'on oublie
De parfums échoués qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, la pensée monte au ciel
Libérant le pollen en bulles irisées,
Et le souffle d'un dieu, l'haleine transparente
Se glissant dans l'aurore, caressant les pétales
Délicatement passe, et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, souvenir qu'on oublie
De parfums échoués qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, la pensée monte au ciel
Libérant le pollen en bulles irisées.
Et le souffle d'un dieu, l'haleine transparente
Se glissant dans l'aurore, caressant les pétales
Délicatement passe, comme un Noël fané
Qui défair la guirlande et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, souvenir qu'on oublie
De parfums échoués qui restent dans les cheveux.
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
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Je me suis permis de mettre des points pour rendre lisible cette longue phrase. Si cela ne vous plaît pas, remettez les virgules, pas de problème.
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, la pensée monte au ciel
Libérant le pollen en bulles irisées.
Et le souffle d'un dieu, l'haleine transparente
Se glissant dans l'aurore, caressant les pétales
Délicatement passe, comme un Noël fané
Qui défait la guirlande et dissout ses couleurs
En une traînée dans l'azur, l'âme ferme les yeux
Sur le crépuscule de sa vie, souvenir qu'on oublie.
De parfums échoués qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, la pensée monte au ciel
Libérant le pollen en bulles irisées.
Et le souffle d'un dieu, l'haleine transparente
Se glissant dans l'aurore, caressant les pétales
Délicatement passe, comme un Noël fané
Qui défait la guirlande et dissout ses couleurs.
En une traînée dans l'azur, l'âme ferme les yeux
Sur le crépuscule de sa vie, souvenir qu'on oublie.
De parfums échoués en sourires évadés
S'envolent des odeurs qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.
(allez, il ne reste plus que deux vers à découper !)
Chaque fleur s'évapore, se désagrège et meurt
A l'âge des étoiles où le cosmos s'éveille
Entre chien et loup, la pensée monte au ciel
Libérant le pollen en bulles irisées.
Et le souffle d'un dieu, l'haleine transparente
Se glissant dans l'aurore, caressant les pétales
Délicatement passe, comme un Noël fané
Qui défait la guirlande et dissout ses couleurs.
En une traînée dans l'azur, l'âme ferme les yeux
Sur le crépuscule de sa vie, souvenir qu'on oublie.
De parfums échoués en sourires évadés
S'envolent des odeurs qui restent dans les cheveux
Dispersant les regrets, d'une vie bien remplie
les caresses oubliées, les tendresses amollies
Se dissolvent en tes yeux ainsi qu'un encensoir.