Je ne sais pas où "caser" ce texte alors je le met ici! ^^'
Je pars. Leurs massacres me dégoûtent. Et ce flingue que j'ai en main ne résout rien au problème. Je vois toujours ce gosse mort, ce cadavéreux innocent encré au plus profond de mon esprit, ce sang. Je ressens toujours cette nausée acide à chaque sortie, chaque attaque. Ils ne se rendent pas compte, ils n'acceptent pas, ils ne veulent pas comprendre. Tout était faux, une erreur, une intersection à une seule voie.
Je pars sans me retourner mais je garde ça à l'esprit: même si j'étais resté, cela n'aurait rien changé.
J'aime beaucoup ce genre d'extrait de texte! J'en suis très très friande! (c'est une des motivations qui m'avaient poussé à faire le premier forum).
J'adore toujours ce jeu de mot : "ce cadavéreux innocent encré au plus profond de mon esprit" cependant je pense que c'est une coquille ... non?
La fin aurait pu être tellement puissante! elle commence très bien!! "Je pars sans me retourner" climax mortel!
sauf que
"mais je garde ça à l'esprit: même si j'étais resté, cela n'aurait rien changé."
caboum ^^
je pense que plusieurs phrase, plus courtes, seraient mieux. et puis je trouve ça un peu maladroitement dit ^^ peut-être parce que ce sont des tournures assez classiques "je garde à l'esprit' 'même si' etc...
En fait j'ai jamais travaillé ce texte, je l'ai écris comme il est venu
mais je vais voir ce que je peux faire ^_^
Au sujet du cadavéreux innocent etc... pourquoi ce serait une coquille?
Je pars. Leurs massacres me dégoûtent. Et ce flingue que j'ai en main ne résout rien au problème. Je vois toujours ce gosse mort, ce cadavéreux innocent encré au plus profond de mon esprit, ce sang. Je ressens toujours cette nausée acide à chaque sortie, chaque attaque. Ils ne se rendent pas compte, ils n'acceptent pas, ils ne veulent pas comprendre. Tout était faux, une erreur, une intersection à une seule voie.
Je pars sans me retourner. La tourmente m'insupporte. Je pars oublier. La mort est passée.
Aaaah je vais jouer mon énervante, j'aime beaucoup plus la fin! Cependant je trouvais bien l'idée que le mec se dise "Même si je suis parti, ça ne change rien".
La coquille/jeu de mot : encré/ancré?
Je suis assez d'accord avec Wen, pour changer : en effet, ta seconde fin est excellemment concise, que qui traduit des sentiments qui n'étaient pas aussi explicites dans ta première fin.... en revanche, la prise de conscience "même si j'étais resté, etc...." était effectivement très poignante..... ne serait-ce point possible de concilier les deux, camarade ? ^^
En passant, je m'incruste, mais j'aime beaucoup ton petit texte
(j'ai eu peur que tu viennes dire n'importe quoi pour m'embêter encore
)
(je ne viens pas ici que pour le simple plaisir de te pourrir la vie, tu sais ^^)
J'approuve mes camarades. La deuxième version est davantage claire et poignante. Mais il manque ce passage qui je trouve fait toute la force et l'originalité du texte "même si j'étais resté ...."
Encré/ancré est un jeu de mot
considère cette Encre comme le sang de l'enfant imprimé dans l'esprit.
Je pars. Leurs massacres me dégoûtent. Et ce flingue que j'ai en main ne résout rien au problème. Je vois toujours ce gosse mort, ce cadavéreux innocent encré au plus profond de mon esprit, ce sang. Je ressens toujours cette nausée acide à chaque sortie, chaque attaque. Ils ne se rendent pas compte, ils n'acceptent pas, ils ne veulent pas comprendre. Tout était faux, une erreur, une intersection à une seule voie.
Je pars sans me retourner. La tourmente m'insupporte. C'est peine perdue... même si je restais... ça n'aurait rien changé. Je pars oublier. La mort est passée.
clap clap clap!
(mais y'a trop de ... je trouve ==)
"même si je restais... ça n'aurait rien changé"
Je le mettrais à la toute fin, comme dans la première version ...
C'est une manière d'illustrer la réflexion du narrateur, illustrer la question "quel adjectif donner à l'inutilité même?"
J'adhère au point de vue de Plume...