Jamais d'Autre Que Toi (R. Desnos / Bashung - L. Bource - J. Lamoot)
Jamais d'autre que toi en dépit des étoiles et des solitudes
En dépit des mutilations d'arbre à la tombée de la nuit
Jamais d'autre que toi ne poursuivra son chemin qui est
le mien
Plus tu t'éloignes et plus ton ombre s'agrandit
Jamais d'autre que toi ne saluera la mer à l'aube quand
fatigué d'errer moi sorti des forêts ténébreuses et
des buissons d'orties je marcherai vers l'écume
Jamais d'autre que toi ne posera sa main sur mon front
et mes yeux
Jamais d'autre que toi et je nie le mensonge et l'infidélité
Ce navire à l'ancre tu peux couper la corde
Jamais d'autre que toi
L'aigle prisonnier dans une cage ronge lentement les
barreaux de cuivre vert-de-grisés
Quelle évasion !
C'est le dimanche marqué par le chant des rossignols
dans les bois d'un vert tendre l'ennui des petites
filles en présence d'une cage où s'agite un serin
tandis que dans la rue solitaire le soleil lentement
déplace sa ligne mince sur le trottoir chaud
Nous passerons d'autres lignes
Jamais jamais d'autre que toi
Et moi seul seul seul comme le lierre fané des jardins
de banlieue seul comme le verre
Et toi jamais d'autre que toi.
Du ciel rouge de l'Est, au coucher de soleil à l'Ouest
Nous avons trompé la mort, et elle nous a trompés
Mais c'était juste un rêve, et voici ce qu'il signifiait
Nous sommes endormis et nous rêverons toujours plus
Et les fragments de souvenir de nos mémoires
Et les ombres que nous avons faites avec nos mains
Un gris profond, est venu pleurer, toutes les couleurs de l'aube
Le jour de ce Compagnon, sera t'il son dernier
[Refrain]
Je sais ce que je veux, et je dis ce que je veux
Et personne ne peut me l'enlever, je sais ce que je veux
Et je dis ce que je veux, et personne ne peut me l'enlever
Mais la mémoire demeure toujours, toutes les années passées pas si étranges
Nos temps d'hiver sont comme une monture silencieuse
Et le battement de coeur du jour, commande la lointaine brume
Et les rêves de l'hiver ne sont pas les seuls autour
Dans votre vie vous pouvez choisir la désolation
Et les ombres que vous construisez avec vos mains
Si vous vous tournez vers la lumière qui brûle dans la nuit
Alors le jour du Compagnon a commencé
[Refrain]
Dans votre vie vous pouvez choisir la désolation
Et les ombres que vous construisez avec vos mains
Si vous vous tournez vers la lumière qui brûle dans la nuit
Alors le jour du Compagnon a commencé
Au secours ! Wensaïlie mmenace, elle veux tuer mon personnage dans le topique "hé, hé, hé qui veux jouer...^^" (dans jeu de rôles).
J'ai besoin de vous, cher blogueurs, sinon, je suis morte (enfin mon personnage !), pour me sauver, il faudrait que vous mettiez un message sur ce topique.
S'il vous plait ! S'il vous plait ! S'il vous plait ! S'il vous plait ! S'il vous plait ! S'il vous plait !
Première chanson : MAISOOOOOOON ! Sinon, j'ai beaucoup aimé, je connaissais pas ce chanteur, merci de me l'avoir fait découvrir !
Deuxième : je connaissais déjà grâce à Non mais t'as vu ce que t'écoutes et j'adore. Ils ont une énergie folle, ils te tiennent en haleine jusqu'au bout et je trouve ça super bien écrit et tellement loin du manichéisme que ça fait du bien...
Sinon, je viens de découvrir le "Chansigne" et j'adore le concept (je ne sais pas si le sujet a déjà été abordé sur Oméga ? j'ai de vagues souvenirs mais impossible de retrouver quoi que ce soit...)
If you are the dealer, I'm out of the game
If you are the healer, it means I'm broken and lame
If thine is the glory then mine must be the shame
You want it darker
We kill the flame
Magnified, sanctified, be thy holy name
Vilified, crucified, in the human frame
A million candles burning for the help that never came
You want it darker1
Hineni, hineni
I'm ready, my lord
There's a lover in the story
But the story's still the same
There's a lullaby for suffering
And a paradox to blame
But it's written in the scriptures
And it's not some idle claim
You want it darker
We kill the flame
They're lining up the prisoners
And the guards are taking aim
I struggled with some demons
They were middle class and tame
I didn't know I had permission to murder and to maim
You want it darker
Hineni, hineni
I'm ready, my lord
Magnified, sanctified, be thy holy name
Vilified, crucified, in the human frame
A million candles burning for the love that never came
You want it darker
We kill the flame
If you are the dealer, let me out of the game
If you are the healer, I'm broken and lame
If thine is the glory, mine must be the shame
You want it darker