Vincent
- Je me sens d'attaque pour aller donner une bonne leçon à ces enquiquineurs.
Aleji
- Si vous souhaitez avoir l'air plus convainquant mieux vaut dire '' je vais bousiller leur gueule à ses chieurs''
Vincent
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L'auteur
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Seiren (qui pensait comme Aleji)
Vincent disait (au départ) vraiment ça et en travaillant sur le brouillon je me suis dit qu'il fallait que quelqu'un lui dise qu'il était trop gentil...
mais non ce n'est pas du tout comme ça dans le roman ^^
Dommage... ça pourrait pourtant être drôle qu'un personnage lui explique qu'il est trop poli par rapport à la situation. (Mais sois un guerrier, bordel !^^)
Oui moi aussi je trouvais ça bien mais ''bousiller leurs gueules bande de chieurs'' c'est un peu trop décalé vis à vis de ce que j'emploi comme voc d'habitude, ça me choquait trop (cependant je laisse mûrir une solution viendra peut être ^^)
Un personnage que je ne nommerais pas aime "tuer les gens par accident" (il ne les tue pas de lui-même mais se débrouille pour qu'ils se trouvent en situation où ils vont mourir). Alors, intriguée par ses motivations je lui ai demandé l'intérêt d'un tel comportement, voilà sa réponse :
- Une vie s'est fragile, il y a tellement de manière ridicule de mourir ! Et pourtant on s'y attache en pensant que la notre sera éternelle et que nos proches seront toujours à nos côtés. Ca fait du mal. Alors je fais un travail d'intérêt public. Quand mes victimes meurent, l'éclair de compréhension dans le regardes de leurs proches m'indique qu'ils comprennent tout cela et qu'ils sont sauvés. Il faut arrêter de se leurrer sur nos existences afin de les vivres pleinement !
- Avez vous vécu un traumatisme dans votre enfance?
- Ben non, pourquoi?
Mais que se passe-t-il dans la tête de l'auteur ? ==
ALERT SPOILER TOME 2
Ou comment finir un roman...
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"Enjan soupira. Rentrer chez lui déguisé. Prisonnier. Sa chevalière cachée... l'échec total.
- Please try again in a new life to be a good king ! ^. ^
* musique de fin de niveau *
C'est très méchant de faire ça, tu sais ? Je me suis retenue de lire, du coup...==
je me suis bien marer en lisant toute les pages^^
Je sais Zinzo mais j'aurais oublié de le mettre après et certaines personnes ici ont déjà lu le tome 2 ^. ^
Contente que ça t'ai plu lasorcière
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Parce que... parce que face à tout ce qu'il s'est passé ses derniers jours, un peu d'amour c'est beau
(ni relu ni corrigé)
Passage sans spoiler qui sera peut -être ajouté à la fin du Tome 2 (merci à Zinzo parce que la fin, c'est toi qui me l'a inspirée à l'AG de Noël > < )
— Devinez qui j’ai trouvé, qui traînait dans le Palais.
Enjan se redressa, curieux. Seiren fit un geste de la main pour inviter la personne qui le suivait à entrer.
— Aleji ! s’exclama Kahlan.
Le Magicien se leva, un sourire ravi éclairait son visage.
— Je croyais que tu étais reparti.
— Je suis reparti. Et je suis revenu.
— Et toujours ta cape de troubadour ?
— Oui, j’ai même décidé d’en faire ma spécialité.
L’Elfe se pencha pour regarder derrière Kahlan. Il étudia rapidement la pièce, ses yeux curieux relevant le moindre détail, puis s’avança vers Enjan et Wen.
— Nous n’avons pas eu l’occasion de nous rencontrer encore, majesté.
— En effet. Et surtout, je n’ai pas eu l’occasion de vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour nous.
— C’était très amusant. Si un jour vous cherchez à nouveau une doublure, pensez à moi !
— Je n’y manquerais pas, s’amusa Enjan. Nous allions dîner, vous joindrez-vous à nous ? C’est un plat typique nomade, qui est censé se manger à plusieurs, alors…
L’Elfe hésita puis haussa les épaules. Il s’assit face au Roi. Kahlan et Seiren prirent place de chaque côté de l’apprenti.
— On pourrait peut-être se tutoyer, suggéra Enjan en tendant une assiette et des couverts à l’Elfe.
Aleji lui répondit d’un clin d’œil.
Ils entamèrent leur repas, un chabu-chabu nomade à base de mouton. Enjan sentit ses joues le brûler sous l’effet des épices. Kahlan ne manqua pas l’occasion et se moqua, sous les regards à la fois compatissant et amusés des trois autres.
— Aleji, pourquoi tu fais cette tête ? demanda Enjan pour diriger l’attention sur quelqu’un d’autre. On dirait que tu n’aimes pas.
L’Elfe fit une moue gênée et jeta des regards autour de lui, comme à la recherche d’un échappatoire.
— Tu as le droit de ne pas aimer, le rassura Seiren. C’est assez… particulier.
— Surtout que le Maître Queux a un peu laissé divaguer son imagination sur la recette, murmura Wen.
— Ce n’est pas que j’aime pas. Je sais que c’est pas ça mais… je trouve que ça a goût de confiture de sardines.
Enjan et Seiren explosèrent de rire. Kahlan et Wen restèrent interdits, bouche ouverte, yeux écarquillés.
— Je savais qu’ils riraient, maugréa Aleji.
La joue gauche de Kahlan tressautait. Ses lèvres étaient pincées.
— C’est un peu… surprenant comme comparaison, expliqua-t-il avec diplomatie.
— Oui c’est très… inspiré, compléta Wen.
L’apprenti haussa les épaules et continua de manger comme si de rien n’était, la mine boudeuse.
Il fallut cinq bons centiles pour que les larmes de rire cessent de couler sur les joues du Roi. Par sécurité, Wen lui avait retiré son assiette des mains. Seiren avait eu la présence d’esprit de poser la sienne avant de repartir dans un nouvel éclat de rire. Finalement, ils essuyèrent leurs yeux humides de joie et s’excusèrent. Le reste du repas se déroula dans la même ambiance chaleureuse, les rires qui le ponctuèrent chassèrent peu à peu la tristesse dans les regards, les regrets tapis dans les cœurs et l’obscurité qui tâchait leurs esprits. Wen fut la première à quitter le bel-étage. Aleji suivit peu après. Il assura qu’il reviendrait chaque fois qu’il le pourrait.
— Que pensez-vous de lui ? demanda Seiren après qu’il fut parti. La première fois que je l’ai vu, j’ai ressenti à son égard le même lien qu’avec vous. Et puis… l’impression c’est effacée.
— Tu avais besoin d’un soutien alors que nous n’étions pas là, tenta Enjan. Tu as peut-être projeté ce qui te manquait sur lui ?
— Moi, je n’ai rien ressenti lors de notre rencontre, assura Kahlan.
— A l’instant, rien non plus. Je l’ai trouvé très sympathique, un peu loufoque.
— Méfiez-vous quand même. Vous l’auriez-vu à l’œuvre…
L’Ange interrompit sa phrase et ses yeux se voilèrent. Lui-même n'avait pas été un exemple.
Enjan se leva et prit la place vide laissée par Aleji. Il passa un bras autour des épaules de Seiren, un autre autour des épaules de Kahlan.
— Je suis content que vous soyez là tous les deux. J’adore ces moments avec vous.
Gênés, les deux autres grognèrent vaguement une réponse. Mais ils se blottirent un peu plus contre leur ami.
Roooooh... c'est tout mignon...
Désolée, double post...==
Ah les comparaisons culinaires inspirées... C'est vrai qu'elle est mignonne, cette scène !