(Découpez, complétez.)
vers de Toti : "qu'y a-t-il de plus triste qu'une forêt qui meurt".
Qu'y a-t-il de plus triste q'un bateau à l'ancrage
Sa coque aussi grinçante qu'une forêt qui meurt
Donc là je suis censé rajouter un vers que le suivant découpera ?
Qu'y-a-t-il de plus triste qu'un bateau à l'ancrage
Sa coque aussi grinçante qu'une forêt qui meurt
L'air malheureux et fou, le mat d'un saule pleureur
L'air malheureux et fou, le mat d'un saule pleureur
Seul, dur et doux comme un naufragé dans la tourmente
Il faut découper le vers et insérer sa participation à l'intérieur .... (si j'ai bien compris...)
Qu'y-a-t-il de plus triste qu'un bateau à l'ancrage
Sa coque aussi grinçante qu'une forêt qui meurt
L'air malheureux et fou, il tangue et enrage
dressant avec noblesse le mat d'un saule pleureur
Seul, dur et doux, debout dans la nuit
les yeux vers le ciel comme un naufragé dans la tourmente
(on fait des rimes alors ? :p)
J'avais placé mon vers de manière à faire des rimes et à poursuivre l'alexandrin de Nani, mais libre à nous ^^
Et là... Ben j'ai pas de vers à découper moi >.<
Moi les rimes ça me branche bien, les alexandrins je vous laisse gérer ^^
Mon pauvre ! Attends je vais remédier à ça illico presto !
"L'arbre est devenu fou, ses racines errantes"
Qu'y-a-t-il de plus triste qu'un bateau à l'ancrage
Sa coque aussi grinçante qu'une forêt qui meurt
L'air malheureux et fou, il tangue et enrage
dressant avec noblesse le mat d'un saule pleureur
Seul, dur et doux, debout dans la nuit
les yeux vers le ciel comme un naufragé dans la tourmente
L'arbre est devenu fou, en propage le bruit
Rumeur véloce de ses racines errantes
*
A qui le tour de mettre un vers ?
Qu'y-a-t-il de plus triste qu'un bateau à l'ancrage
Sa coque aussi grinçante qu'une forêt qui meurt
L'air malheureux et fou, il tangue et enrage
dressant avec noblesse le mat d'un saule pleureur
Seul, dur et doux, debout dans la nuit
les yeux vers le ciel comme un naufragé dans la tourmente
L'arbre est devenu fou, en propage le bruit
Rumeur véloce de ses racines errantes
Qui arrache le douloureux sanglot de la sève,
S’écoule lentement dans les bras des flot battant.
Vous pouvez découper ! A qui le tour !
Continuez si vous le voulez, mais en fait l'idée de départ c'est :
1er joueur
blablablablablabla, blablablablablabla
2eme joueur :
blablablablablabla, blibliblibliblibli
blibliblibliblibli, blablablablablabla
3eme joueur (il découpe le premier vers du deuxième joueur, puis complète) :
blablablablablabla, bloblobloblobloblo
bloblobloblobloblo, blibliblibliblibli
blibliblibliblibli, blablablablablabla
4eme joueur : (il découpe le vers restant du deuxième, celui que le troisième a laissé tel quel)
blablablablablabla, bloblobloblobloblo
bloblobloblobloblo, blibliblibliblibli
blibliblibliblibli, bloblobloblobloblo
bloblobloblobloblo, blablablablablabla.
le 5eme va ensuite découper et compléter le premier vers de ce quatrain pour former deux vers, le sixième s'occupe du deuxième vers de ce quatrain, ainsi de suite.
Est-ce compréhensible ? Sinon, allez voir la "lignée complète" du poème appelé "scissipare" dans "poésie".
Aaaaah ! Je me disais bien qu'il fallait peut être recouper à l'intérieur des vers mais je ne saisissais pas exactement comment (donc je n'ai rien fait ^^), merci pour l'explication !
Bloblibla, on fait quoi ?
Ben on recommence, non ?
(Réflexion intense...)
Ton ombre s'est brisée en fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front que des fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée comme un étang gelé
Comme la pleine lune en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front que des fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée comme un étang gelé
Comme la pleine lune en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, effleurement de sève
Que des sillons de labours, que des fragments de ciel bleu.