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(je ne crois pas l'avoir posté ce texte alors le voici. Écrit il y a déjà pas mal de temps)
A mes meilleurs potes, ceux pour qui je donnerais tout.
Moi, eux, nous, une histoire qui ne s’arrêtera pas.
Ici, là-bas, ailleurs, à coté, toujours unis pour les quatre cent coups.
Tristesse ? Dégagez la elle ne nous atteint pas.
Immortels à mes yeux et dans mon cœur.
Ensemble, pour le pire mais surtout le meilleur.
Querelles absentes, déconne présente.
Utopiques étant petits, le nec plus ultra des souvenirs.
Ahuris après des nuits blanches de rires.
Nous sommes la parfaite entente.
Directs, francs, honnêtes, frangins.
Toujours à mes cotés, nous sommes un.
Uni dans l’enfance ; renforcé dans l’adolescence.
Négligeant la fatigue, on court.
Où ? À l’autre bout de la France.
Utilisant, pour endormir les parents, moult discours
Surtout si l’un est dans une grosse panade.
Tenir, ne pas craquer, les supporter
Imparfaits ? oui.
Entiers ? aussi.
Ne jamais les oublier.
Savoir ce qu’est l’amitié.
Le 28 mars 2011
Mickaël Landès
J'ai été un peu perturbée par l'utilisation de certaine formulations qui me paraissaient un peu lourdes ou "maladroites" au niveau du rythme, et du coup je n'ai pas vraiment été emportée par le poème. Quand j'ai essayé de trouver quoi j'ai eu du mal mais quelques petites notes :
"Dégagez la elle ne nous atteint pas." => Dégagez-la?
"Directs, francs, honnêtes, frangins." la répétition fran/fran est gênante pour moi.
"Surtout si l’un est dans une grosse panade." je trouve que ce vers irait bien avec "moult discours" mais qu'il y a quelque chose qui l'en empêche... je sais pas quoi =='
Dans pas mal de moments j'ai bien aimé le rythme, mais effectivement certaines formulations m'ont gênées. Je trouve le style est un peu trop hétérogène (lyrique de temps en temps, soutenu, puis familier ou humoristique ou plus direct par exemple) ça aurait pu se mettre mutuellement en valeur mais j'ai plus l'impression que tu ne sais pas bien sous quel angle aborder le sujet, et du coup j'ai plus un fouillis d'ébauches qu'une vision d'amitié qui se forme dans mon esprit.
Au delà de ça j'ai du mal avec le fond, les amitiés fusionnelles ou aussi intenses que ce que tu décrit n'ont jamais été mon fort. Rien que
"Toujours à mes cotés, nous sommes un.
Uni dans l’enfance ; renforcé dans l’adolescence."
ça me fait peur plus qu'autre chose...
J'ai eu de la difficulté avec ta dernière strophe car j'avais l'impression que tu étais encore sur les parents... Sinon, j'ai bien apprécié le reste même si de petites coquilles s'y trouvent.