naniquolas
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Citer - 05/05/2011 21:37:23
écrivons nous des lettres à nous mêmes. Au nous même du passé, au nous même du futur, de maintenant, ou à un nous même imaginaire, libre à vous de choisir le vous même qui vous plait ! Non, ce n'est pas de la schyzophrénie mais simplement un exercice littéraire génial !
(post de naniquolas)
A moi même,
Ce jour là.
Cher moi,
tu sais combien je tiens à toi. Tu sais tout ce qu'on a fait ensemble, tout ce qu'on a surmonté ; je n'oublierai jamais ce que tu as fait pour moi. Je t'ai fait confiance, toi aussi, mais il faut que tu saches : tu as eu tort. J'ai un secret que je ne t'ai jamais confié. Alors je t'écris cette lettre, mais c'est la dernière, crois-moi, parce que je ne peux plus supporter de te mentir encore. Ferme les yeux s'il te plaît, rappelle-toi tous nos instants heureux, et ces paysages de montagne où, solitaires, nous étions assis tous les deux. Rapelle-toi nos fous rires, nos disputes, nos désillusions, et le reste. Il ne faut pas que tu perdes tout ça à cause de ce que je vais t'avouer. Ne pense pas, même après, que tous ces moments privilégiés n'étaient que des mensonges. Je t'aimais sincèrement, tout au long de notre vie, mais je ne peux plus tenir : je suis un imposteur. Je ne suis pas toi. Alors pardonne-moi.
(post de Wensaïlie)
Pour moi,
si tu trouves cette lettre, c'est que peut-être tu es là.
Il y a des moments dans la vie, on se demande si on sera encore là, et c'est peut-être pour ça qu'on est encore là. Des fois, la seule façon d'être sûr d'être encore là, s'est d'y rester. On ne supporte pas de voir le temps passer, mais on comprend qu'une fois le mal passé, le sourire peut revenir.
Si je t'écris c'est parce que j'ai besoin de toi, j'aimerais savoir si tu es encore là, si tu ne m'oublie pas. Je sais que tout dépend de moi, et il ne tiens pourtant peut-être qu'à toi pour que je puisse lire tes mots.
Qu'on se retrouve bientôt, sinon, cela voudra dire que j'ai échoué.
Moi.
(post de naniquolas)
A moi même,
Ce jour là.
Cher moi,
tu sais combien je tiens à toi. Tu sais tout ce qu'on a fait ensemble, tout ce qu'on a surmonté ; je n'oublierai jamais ce que tu as fait pour moi. Je t'ai fait confiance, toi aussi, mais il faut que tu saches : tu as eu tort. J'ai un secret que je ne t'ai jamais confié. Alors je t'écris cette lettre, mais c'est la dernière, crois-moi, parce que je ne peux plus supporter de te mentir encore. Ferme les yeux s'il te plaît, rappelle-toi tous nos instants heureux, et ces paysages de montagne où, solitaires, nous étions assis tous les deux. Rapelle-toi nos fous rires, nos disputes, nos désillusions, et le reste. Il ne faut pas que tu perdes tout ça à cause de ce que je vais t'avouer. Ne pense pas, même après, que tous ces moments privilégiés n'étaient que des mensonges. Je t'aimais sincèrement, tout au long de notre vie, mais je ne peux plus tenir : je suis un imposteur. Je ne suis pas toi. Alors pardonne-moi.
(post de Wensaïlie)
Pour moi,
si tu trouves cette lettre, c'est que peut-être tu es là.
Il y a des moments dans la vie, on se demande si on sera encore là, et c'est peut-être pour ça qu'on est encore là. Des fois, la seule façon d'être sûr d'être encore là, s'est d'y rester. On ne supporte pas de voir le temps passer, mais on comprend qu'une fois le mal passé, le sourire peut revenir.
Si je t'écris c'est parce que j'ai besoin de toi, j'aimerais savoir si tu es encore là, si tu ne m'oublie pas. Je sais que tout dépend de moi, et il ne tiens pourtant peut-être qu'à toi pour que je puisse lire tes mots.
Qu'on se retrouve bientôt, sinon, cela voudra dire que j'ai échoué.
Moi.
