La métaphore du membre de dieu qu'on ampute m'a fait pas mal d'effet ! J'ai adoré les trois ou quatres premières strophes, après quand ça tourne un peu plus révolte franche et autodestruction ça m'a un peu moins emporté. Mais j'en ressors secoué et j'ai apprécié le voyage. J'aime la dernière strophe !
"Je ne suis pas, je ne veux plus,
Être le jouet de l'imagination immonde
D'un autre qui créa tout cela :
Je veux être moi dans mon monde."
Je pense qu'immonde n'est pas forcément à sa place. D'ailleurs le faire rimer avec monde c'est peut-être un peu facile, je ne suis pas trop sensible à ce genre de chose d'habitude mais là ça m'a gêné. Mais le vers avec monde est bien !
j'ai pas eu le courage de lire jusqu'au bout je suppose que "du Che!" conviendra aussi pour ce poème. Ce n'est pas que j'aime pas, mais tes anciens poèmes se ressemblent de plus en plus (dans ma petite tête ^^) et apportent rarement du neuf
"Mais moi quand je vais mal,
La part de Dieu c'est celle que je m'ampute," cette phrase m'a vraiment touchée (et je suis pas la seule apparemment ^^)
Non pas la seule, me too ...