Omega - le Temps des Rêves

Avatar de [Utilisateur supprimé] [Utilisateur supprimé] Mode Lecture - Citer - 03/01/2012 20:28:12

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non du tout.

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C'est superbe. Je sais pas quoi dire de plus, je suis pas très doué pour les critiques. Mais c'est superbe. Petit Sourire

Un petit côté Gainsbourg/Gainsbarre ici:

- Je suis celle qui ne ressentait qu'un petit amour minable
Et dont les "je t'aime" avaient un goût d'alcool
C'était son âme qui s'écoulait oui, mais pas assez, dans mes veines
Je suis maintenant la poupée dont on détruit le corps
Sous le regard des hommes pervers et de leurs femmes jalouses.

-

- Je suis de retour, et croyez-moi les choses ne seront plus les mêmes
J'ai trouvé l'ivresse jusqu'à plus soif et la cigarette jusqu'à en avoir les poumons brûlés.
A trop vouloir chercher de l'amour là où il n'y en avait pas, j'avais fini par oublier
Que des hommes et des femmes il y en avait des milliers
Et qu'ils pouvaient tous faire comme lui.

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"en une heure on peut faire des trucs potables"

Potables ? C'est un peu plus que potable à mon avis !
C'est un peu long mais j'ai tenu jusqu'au bout sans m'ennuyer. Parfois je n'ai pas bien compris les changements de la première personne du singulier à la troisième. On retrouve toujours la souffrance dans tes textes, mais elle est vue d'un peu plus loin, un peu plus tendre, et ça fait du bien. Le côté dialogue fait que ça reste dynamique mais je pense quand même que j'aurais encore mieux adhéré si c'était plus court.

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Il ne m'est pas adressé. Je suis concerné mais pas le destinataire. Et il a tout à fait sa place ici.

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Je fais parti des chanceux qui ont lu le texte d'origine, Venin.

Ce qui me touche (et me donne toute les difficultés du monde pour mettre les mots dessus), en delà du résultat que je laisserais aux autres le soin de juger, c'est tout ce travail de remodelage.
Ce qui me touche, et quelque part m'amuse, c'est qu'à travers ce texte, Che, tu nous as pouponné MKL. Il se dégage des caresses, une douceur, un espoir, autant de choses qui n'étaient pas dans le texte incisif, destructeur et écœuré de MKL.

Ce qui est amusant, du coup, c'est l'effet de caresse qui se dessine. Quelque chose de paradoxal vis a vis du titre du coup. Parce qu'à travers la Chrysalide et le papillon, je vois justement se profiler une métamorphose paradoxale : l'éphémère passionné se transforme en rythme apaisé et apaisant. Après un air de Black, à travers un morceau Doom, il y a une très jolie mélodie au piano qui s'affirme.

Tu posteras ton texte après, MKL, d'ici quelques semaines?

Honnêtement je ne sais pas si je le posterais...

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