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Arbre

Le Temps des Rêves

Avatar de asso asso Mode Lecture - Citer - 30/03/2011 13:10:55

Message de Wensaïlie (2008)

Vivre avec le regard des autres, vous voulez faire ça encore longtemps ? JE NE DIT PAS QU’IL NE FAUT PAS FAIRE ATTENTION AUX AUTRES, je dis seulement que ce n’est pas toujours la peine de connaître leur avis pour vivre. Des exemples simples de complexe liés au regard des autres :

je suis grosse : mais ça c’est aussi psychologique, n’empêche que le regard des autres joue

Bien sûr il est possible que tu sois grosse, mais encore une fois n’aggrave pas ton cas ! tu as déjà entendue parler de l’indice de la masse corporelle ? (je ne sais plus exactement comment le calculer) si ton indice est entre vingt et vingt trois tu n'as pas a t’inquiéter. je suis une fille, pour les garçons, demandez à IXO. Quand tu as plus, alors tu peux te dire que commencer un régime ne serait pas inutile, pour ta santé physique et moral si tu ne supportes pas de te voir dans ton miroir. Par contre si ton indice est raisonnable, pas la peine de faire un régime, tu ne pourras que te rendre malade : pourquoi je maigris pas alors que je mange rien ? parce que tu n’as pas besoin de maigrir et parce que ne rien manger ce n’est pas un régime, aussi par un procédé naturel, tu vas plutôt avoir tendance à maigrir ou à grossir selon comment ton corps régit (oh ! elle mange pas beaucoup faisons encore plus de réserve). Mais faire un régime ça ne veut pas dire ne rien manger, faire un régime c’est manger équilibré et différemment qu'à l’ordinaire. souvent on recommande de manger à égaliter des légumes verts (haricots, épinard, brocolis…) et des féculents (frites, patates, …) ainsi que de la viande, mais là il faut vraiment faire attention à ne pas en manger plus qu’autre chose. Manger beaucoup de fruits, de jus de fruits, boire beaucoup et faire du sport. De plus pour les femmes c’est indispensable d’avoir un temps soit peu de gras pour la Nature : c’est nous qui portons les enfants dans nos ventres et quand nous en aurons nous devrons les nourrir dans notre ventres et les supporter (ça pèse lourd mine de rien) nous devrons continuellement porter un poids en plus alors il nous faudra plus de force alors qu’on aura tendance à moins manger. De plus nous avons nos règles : perdre du sang c’est aussi perdre tout ce qu’il trimbale et au final sur environ cinq jour ça commence à faire beaucoup.

Bref, je m’écarte toujours des sujets mais j’aime ça, je trouve que c’est un bon moyen de parler de choses qu’on aborde pas d’habitude.

Je m'habille mal : oh la grande fatigue que de faire les soldes et que j’avais bien raison lorsque je ne me disais que j’avais assez de pantalons ! ! ! s’habiller bien oui, s’habiller comme on veut aussi ! il ne faut pas automatiquement suivre la mode, nous sommes différents et donc nous ne devons pas automatiquement tout faire pareil. Néanmoins il est vrai qu’il y a tout de même des règles à respecter pour s’habiller : ne pas s’habiller de manière trop provocante (on évite les mini jupes qui se soulèvent au moindre coup de vent pour montrer son string) pour respecter les yeux des gens qui vous entourent, même si vous vous en moquez ou si vous les détestez, raison de plus pour ne pas le faire. On s’habille comme on veut tant qu’on ne gène pas les autres. Perso, je préfère avoir des habits singuliers, bien a moi, qui sont confortables. Autant dire : je déteste les jeans (pas pratique pour faire des étirement), les pattes d’éléphant (qui trempent dans les flaques d’eau et de boue et s’imbibent jusqu’aux genoux) , les tailles basses (qui grattent, qui montre vos dessous, qui sont encore moins agréables à porter qu’une jupe en tôle).



Le regard des autres et important, mais le votre aussi l’est
, et si vous ne vivez que de celui des autres, alors peut être que cela explique certains de vos problèmes : pourquoi vous vous sentez mal dans votre peau : vous vivez à la place des autres en décalquant leur manies et copiant leurs attitudes !, pourquoi vous avez des problèmes pour vous entendre avec certaines personnes parfois. le regard des autres il faut y faire attention mais ne pas le prendre comme modèle et juge (ils ne sont pas du tout objectif ! !) au point de ne plus connaître nos goûts ou de faire des choses contraire a ce que l’on aime (que l’on aime en respectant la liberté des autres).

Le regard des autres c’est quand même important, et c’est mieux d’y faire attention, mais il est vrai qu’on est libre de faire ce qu’on veut, bien que parfois la timidité ou la peur d’être ridicule nous empêche de faire des choses hors du commun qui sont parfois bonnes à faire.



Je suis nulle, personne ne m’écoute ni ne reconnaît mes talents, d’ailleurs est ce que j’en ai ? On a tous des talents, et il faut faire attention à bien les utiliser. Peut être que vous ne connaissez pas encore les vôtres, peut être, mais vous en avez. Il suffit de faire assez d’activités pour permettre à ceux ci de s’épanouir. c’est vrai que des choses sont innées parfois, mais dans tous les cas on les découvre en les essayant, et pas en restant assis devant son ordinateur toute la journée ! peut être que ce sont des qualité qui s’expriment sans que vous ne le sachiez ou que vous en preniez conscience : la gentillesse, la solidarité….il se peut aussi que vous pensiez que vous n’avez pas de qualités parce que les gens qui vous entoure ne les reconnaissent pas : j’adore dessiner et quand je montrais mes dessins (à ma famille) au début on me disait " ouahou, génial, il est très bien fait … " et sans mentir s’était vrai, je dessine très bien, mais maintenant grâce à au moins dix ans d’expérience (j’y ai soustrait toutes mes années où je ne pouvais pas dessiner (enfance) et celle où je ne l’ai pas vraiment fait (déprime), comme ça vous ne savez toujours pas mon âge). Mais ma mère à changé de métier et lors de sa première inspection ça s’est mal passé, deux jours plus tard je retrouve une maman choutée aux calmants et à moitié dans les vappes. Mais moi je continue de lui montrer mes dessins, pourquoi j’arrêterais ? et là, je réussis le plus beau dessins (que je croyais !) de toute ma vie, et je le montre bien sûr a ma mère.
-" Mouais " ; a peine un mot en plus, même pas un regard. Autant dire que même s’il était énormément moche à ses yeux cette réaction ma beaucoup déçue. Le lendemain, je réessaye, avec de l’espoir, mais j’obtiens toujours aussi peu d’attention, si ce n’est moins. Aussi, avant j’aimais tout raconter à mes parents, mais maintenant je ne dis que le minimum vital. Je dessine, mais je ne leur montre plus et les rares fois où je m’y suis re risqué, j’étais toujours plus déçue. J’écris aussi, moins bien qu’IXO (pour un peu qu’il écrive bien…^^) mais je ne leur ais jamais, jamais, fait lire une de mes histoires, et pourtant il y en a (j’ai commencée a écrire après avoir dessiné et que ma mère est changé de métier). Je vis en apnée, presque déjà immergée, et je ne le dis à personne, parce que je ne veus pas qu’ils le sachent.

Bref, on a tous des talents, il faut juste trouver là où ils sont et accepter les autres. Mais pour les trouver il faut avoir un minimum d’ouverture d’esprit et admettre que VOUS N’ÊTES PAS NUL ! ! personne n’est nul, encore une fois c’est la même chose : il faut juste trouver chaussure à son pied. Mais ce n’est pas parce qu’on ne la trouve pas qu’on ne la trouvera jamais, et ce n’est pas parce qu’on ne la trouve pas qu’on est nul puisque PERSONNE N’EST NUL ! ! simplement, peut être que vous êtes si telle chose et si telle chose et finalement tellement telle chose que peu de gens partagent vos opinion et vous comprennent à deux cent pour cent. Peut être que plus on cherche ce que Ryu (ShamanKing) appelle sa botte secrète plus elle nous paraît précieuse quand on la trouve. Mais ce n’est pas pour ça que si on trouve vite sa botte secrète elle sera nulle ! !

On a tous quelque chose en soi qui fait qu’on puisse s’intégrer dans la société des hommes parce que les hommes "sont fait pour vivre ensembles"

Réponse d'Eraneon


Les hommes sont fait pour vivre ensemble, mais leur évolution montre, par bien des points, qu'ils l'ont malheureusement oublié. Avec l'apparition d'Homo Sapiens et l'émergence des premières civilisations sur notre planète, la vie a prit le pas sur la survie et l'intérêt personnel a prit le pas sur l'intérêt commun, puisque la survivance de l'espèce est désormais assurée si l'on ne fait pas entrer en ligne de compte les éléments indépendants tels que les catastrophes naturelles et les événements spatiaux. Ce fut d'abord des réactions banales, l'apparition de la notion d'appartenance, de possession, la distinction du "mien" et du "tien", puis avec la conscience de soi et des autres vient le jugement, immédiatement suivi des notions de différence et de mépris. Pour l'étendue du propos qui nous intéresse, restons en à ce stade.

Si l'homme s'était un tant soit peu souvenu qu'il ne devait sa survie qu'à l'agrégation primaire de ses congénères, le débat soulevé n'aurait pas lieu d'être. Si au lieu de commencer doucement à s'entretuer, l'homme avait continué à assurer à sa race la survie, en considérant que la vie n'est pas éternelle et que bien des choses indépendantes de notre race peuvent nous anéantir en un instant, bref s'il ne s'était pas senti hors de danger, personne ne parlerait des "autres", de leur "regard" et de leurs "jugements". La simple notion d'"autre" est déjà en soit une marque du jugement. L'étymologie du mot, "alter" en latin nous fait trouver des dérivés français comme "altérer", qui veut dire "rendre autre". On parle notamment de "jugement altéré", c'est-à-dire "rendu autre", "différent". L'erreur de l'homme fut, depuis l'apparition des civilisations, de croire que son semblable (qui, au passage, veut dire "pas tout à fait mais presque"Clin d'oeil est quelqu'un de différent de lui. S'il s'était souvenu que tous les hommes ont lutté à un moment où à un autre pour leur survie, il se serait trouvé un "égal" (qui trouve son origine dans le mot latin "ego" qui signifie "moi"Clin d'oeil, autrement dit quelqu'un qui lui serait parfaitement identique.

Tout le malheur de notre race, après s'être ancrée dans la sérennité de voir son avenir biologique assuré, est au jour d'aujourd'hui de ne pas se rendre compte que plus que jamais, notre race est en danger. Non pas parce que l'évolution la rend non-viable, mais parce qu'elle a détruit sans s'en rendre compte, pendant 2500 ans, la planète qui l'abrite. 2500 ans pendant lesquels les hommes se sont crus totalement à l'abri d'autres éléments que leurs "ennemis" ("qui est contraire à quelque chose" selon la définition du mot qu'en donnera Montaigne en 1580). Or ce n'est plus vrai : le plus grand danger de l'homme est désormais l'environnement qu'il a, volontairement ou pas, "altéré". En résumé, nous sommes tous dans la même galère, et devrions être unis, même dans l'adversité pour assurer de nouveau la survie de la race humaine.

Dans ce contexte, que valent donc les jugements de valeur ? "Je suis gros(se)", "je m'habille mal", "je suis différent(e)" ? Que valent-ils quand on sait que ces paramètres physiques, extérieurs, qui font appel à nos goûts et à nos préférences, ne nous avancerons pas dans l'inévitable compte à rebours qui nous sert désormais de quotidien ? Les individus qui se permettent de juger les autres n'aideront jamais la race humaine, car ils la salissent chaque fois un peu plus en donnant sûrement le seul avis dont l'humanité n'a pas besoin. S'exprimer est un droit à la base de la démocratie, médire est plus que jamais la seule action qui entre dans le cadre du "c'est celui qui dit qui y est" qui sert de réponse bateau, usée. Lorsque ces juges égoïstes car plus occupés à regarder sa race plutôt qu'à la servir se rendront compte du temps qu'ils ont perdu dans la course à la survie qui commence à considérer avec hauteur, suffisance et, le plus souvent, mépris ses congénères humains, personne ne sera plus là pour les consoler de leur sentiment d'inutilité. Ils seront inutiles, car ayant un temps de retard, et ne seront en rien dans l'immense chantier de consolidation, l'immense prise de conscience de l'Homme, qui se rend compte que sa survie ne dépend pas du taux de fécondité de sa race, mais bel et bien de la conservation de son environnement.

L'Homme sait remercier ses frères qui ont servi la race. Martin Luther King, Gandhi, Jean Moulin, Aimé Césaire, l'Abbé Pierre, Saint-Louis, tous ont été reconnus par leurs pairs pour leur abnégation dans le service à l'Humanité. Ils ont tous un point commun : ils n'ont jamais donné aucun jugement de valeur arbitraire et malsain.

Nous avons nos particularités ("particulier" : ce qui fait "partie" de nous CQFD), nous avons nos caractères, chacun de nous est unique et c'est ce qui fait la richesse de notre race. La "mode", cette religion infâme créée par le capitalisme et qui fait disparaître ce caractère unique en chacun de nous, est une dégénérescence de notre esprit d'invention qu'il convient d'ignorer pour conserver notre intégrité. Apprécier quelqu'un, c'est se trouver des points communs avec lui, le détester c'est ne pas en trouver, mais le mépris n'a pas droit de cité dans notre monde, à quelques exceptions près. Nous sommes notre propre richesse. C'est la seule chose qui importe.

Réponse de Wensaïlie

je suis tout a fait d'accord.
une phrase cependant attire mon attention
apprécier quelqu'un ne se fait forcément parce qu'on a des points communs. je n'ai pas d'exemple à donner, mais je connais des gens qui sont mes amis et qui n'ont pas de points communs avec moi. enfin pas vraiment. maintenant que j'y réfléchis tout dépend de ce qu'on peut considérer comme un point commun. à partir de quand a-t-on des points communs? personnellement je ne considère pas que les personnes ayant fait du latin ont un point commun avec moi (ceci est un exemple). je veux dire par là qu'un point commun ne peut certainement pas être quelque chose de si "neutre". après tout dépend bien sûr de notre expérience personnelle: si vous avez bavez de suivre des cours de latin, alors forcément si vous rencontrez quelqu'un qui a subit la même chose, cela risque de vous rapprocher.
de ce fait, être ennemi avec quelqu'un n'est peut-être pas ne pas lui trouver de point commun. au contraire, les ennemis ont souvent un point commun (je trouve) mais un point commun qu'on pourrait qualifier d'incompatible.

Réponse d'Eraneon :


Pourquoi j'ai l'impression que tu parles de moi quand tu prends l'exemple du latin ? lol
Plutôt que de points communs, parlons plutôt d'affinité. Le terme est quand même plus proche du relationnel. Et c'est vrai, nos ennemis nous ressemblent la plupart du temps.

Réponse de naniquolas :


pourtant, deux personnes de même caractère ne font pas toujours bon ménage : exemple : si 2 personnes ont tout les deux un caractère égoïste et adorent être un chef pour les autres, ces deux personnes ne s'entendront pas car elle refuseront de partager le pouvoir et l'attention.

Réponse de Wensaïlie :


non Era je ne parlais pas de toi (même si je me doutais que tu te sentirais visé). c'est juste que j'écrivais ce message pendant le cours de latin, à la place de faire des recherches sur mon dossier (tout comme là j'écris a la place de réviser la physique. C'est si dur de se concentrer quand il fait beau. c'est pas que j'ai envie d'aller dehors mais le soleil m'ennuie).
oui, je préfère le terme affinité.
il ne me semblait pas avoir dit que deux personnes de même caractère font toujours bon ménage, au contraire, je pensais qu'elles avaient autant de chances de s'entendre que de ne pas s'entendre.

Avatar de UnAutreLapin UnAutreLapin Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 01:06:08



Smile!!

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 11:46:50

We are great LOL

Avatar de [Utilisateur supprimé] [Utilisateur supprimé] Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 12:20:07

[Contenu supprimé]

Avatar de naniquolas naniquolas Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 12:41:21

on l'attend avec impatience !

Avatar de Contraste Contraste Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 12:55:15

Et si le monde n'était qu'un gigantesque et complexe jeu de miroirs, et que nous n'existions tous que les uns à travers les autres, interdépendants ?
( Ce thème en poème bientôt, je le posterai sur TDR.)

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 13:23:06

Mon cher Contraste, voilà une fort intéressante question que je me pose souvent...

Comment pourrions-nous répondre par la négative puisque notre vie entière s'est construite grâce ou à cause de ces interdépendances ?

Si quelqu'un, ici, a trouvé qui il est alors pourra t-il nous dire si notre essence (si elle existe) est commune ou non?

Quand au "à travers" les autres, m'expliquerai-tu plus précisément pourquoi exclusivement cette situation là ?

Avatar de [Utilisateur supprimé] [Utilisateur supprimé] Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 15:05:46

[Contenu supprimé]

Avatar de Contraste Contraste Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 16:49:45

"Quand au "à travers" les autres, m'expliquerai-tu plus précisément pourquoi exclusivement cette situation là ? "

Parce que tout me semble vain si ce n'est pas partagé. Étrange, moi qui clame des poèmes improvisés et éphémères lorsque je marche seul en forêt, et les oublie, et personne ne les entends. Peut-être pour les oiseaux, la gloire du Corbeau ? ...

Je m'interroge.
Lorsque j'écris des mots dans le sable de la plage, je les écris pour quelqu'un.
Je n'aime pas l'idée de faire les choses dans le vide, je ne sais pas...

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 16:55:36

Contraste a dit :

Je n'aime pas l'idée de faire les choses dans le vide, je ne sais pas...

Je voue un culte à l'éphémère et je déteste laisser des traces, aussi j'adore faire quelque chose qui n'a d'avenir que l'instant présent.

Cependant, je vois ce que tu veux dire
Peut-être pour les oiseaux, la gloire du Corbeau ? ...
Un arbre en face de toi est déjà un dialogue (enfin pour moi) ...

Parce que tout me semble vain si ce n'est pas partagé.
Je ne sais pas, je me demande. Mais est-ce que chaque chose que nous faisons, chaque pensée, chacune de nos cellules ... n'est finalement pas obligatoirement partagée ? Ne serait-ce que par l'air qui nous enveloppe ?

Avatar de Contraste Contraste Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 16:58:11

Lune ! Tu viens d'apporter ce que je cherchais à transcrire.
Je comprends maintenant pourquoi je fais des choses éphémères, comme tu les faits, en ayant une impression de bonheur immense et de doute quant à son utilité à la fois.

Je pense que je crois à ta dernière phrase.
Déclic..

Avatar de Lune Lune Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 17:04:16

A ton service ! (tu nous écris un poème sur le sujet ? Je suis en panne scripturale en ce moment ^^)

une impression de bonheur immense et de doute quant à son utilité à la fois

Oui c'est vraiment, mais alors vraiment ça ...

Avatar de UnAutreLapin UnAutreLapin Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 18:11:37

Arf!

Et moi je voue un culte au solide, à la pierre et à la mémoire qui s'efface, aux ruine...
Ce qui explique que malgré des moments où la salive a souvent recouvert les miroirs qui me regardaient, j'ai toujours voulu jouer à l'autoportrait. Garder des cicatrices de la vie...

Avatar de [Utilisateur supprimé] [Utilisateur supprimé] Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 18:12:43

[Contenu supprimé]

Avatar de UnAutreLapin UnAutreLapin Mode Lecture - Citer - 15/01/2012 18:18:29

che2867 a dit :

Garder des cicatrices de la vie...


Sur le corps...


Je crois qu'on met pas le même sens dans ces mots ^^
Dans un cailloux, les fragilités sont rarement en surface, ce sont des faiblesses du matériau en profondeur, laissées par les coups, le temps... Les yeux racontent plein de choses, par exemple.