Il va réellement falloir que je le relise, et plusieurs fois je crois. Parce qu'on sent qu'il y a quelque chose derrière la première lecture, mais c'est trop diffus : il faut être concentré, s'ouvrir l'esprit.
Quelques détails tout à fait superficiels cependant : "Je me replonge dans le doute, inlassablement, comme un alcool dont je ne pourrais me passer [...]" - à moins que je ne comprenne pas complètement la phrase, "Tu m'empoisonnes", "[...]tu es devenu la pierre[...]", "Qu'en est-il de toi ?" - à moins également que je comprenne pas la phrase comme je le devrais..., "Et c'est dans la danse de l'acier, fracas imbattable, infinité puissante et pure, que l'âme a ressurgi." - me semble-t-il, puisque on dirait "a fini".
C'est ça que j'aime dans les textes d'Ombre, justement. Toutes les lectures différentes qu'on peut avoir. Derrière les mots ça fourmille, ça pétille, et c'est délicieux (si je puis me permettre l'adjectif vu le thème...).
Je n'ai pas encore lu mais j'adore la présentation de ce poème... "à goûter du bout des lèvres, à vomir ou à croquer..." Voilà une phrase qu'i lfaut agrder en mémoire!
Je trouve que "habitat": "Et quand bien même un Léviathan l'habitat" sonne étrange.
Je trouve le tout un peu trop décousu, en fait j'ai eu l'impression de lire plusieurs petites histoires, mais le tout est sauvé par la conclusion!!
En tout cas ça éveille pleins d'images, c'est super.
L'orthographe étrange, omis une faute corrigée, doit demeurer intacte. Certains crieront à l'horreur mais j'aime triturer les mots pour leur donner un sens bien personnel.
En effet Wen, c'est complètement décousu. Mon âme est ainsi. Pour en percer les secrets, pour comprendre ce que m'a évoqué et ce qu'évoque ce texte, il faut accepter qu'il soit morcelé, comme un vêtement rapiécé mais dont toutes les coutures sont du même fil. Comme dit Lune, toutes les lectures différentes que l'on peut en faire...
Merci pour vos appréciations, ça me fait plaisir.
Contraste
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Citer - 18/08/2011 01:22:30
