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Arbre

Le Temps des Rêves

Avatar de Jussy Jussy Mode Lecture - Citer - 23/04/2018 15:12:27

Chapitre 1 :
La routine
« Driiiiiiiiiiing » Tout le monde s'empresse de ranger ces cahiers d'histoire-géographie.Mme Baxter était rousse, ces lèvres fines, pincées et ces cheveux raides en chignon serré lui donnait un air strict mais heureusement, elle avait toujours son sourire radieux, cela lui apportait un petit air accueillant voir même chaleureux, elle était beaucoup plus grande et plus mince que la moyenne. Mme Baxter tenait encore entre ses doigts la copie du manuscrit qu'elle venait tout juste de lire à voix haute pour tous ces élèves et dit précipitamment « Pour demain, vous me ferez un paragraphe d'environ cinq lignes sur les folies de Cédric Maney »La majeure partie des élèves râlèrent en sortant leur cahier de texte ou leur agenda -Patrik entendit une voix moqueuse derrière lui « il y a un air de famille là-dedans, pas vrai l'parasite ? » Le peu d'élèves qui l'entendirent, pouffèrent de rire- Mme Baxter s'empressa de rajouter :
« Je ne tolérait plus les signe de protestation et, je vous préviens, à partir de maintenant, un geste de mécontentement et c'est noter … Patrik Maney ?
- Oui Madame ?
-Je voudrait te voir à la fin du cours.
-D’accord.
Et le même élève que tout à l'heur lança :
-C'est tellement rare de voir un mendiant à l'école que tout le monde veut l'observer de plus près. Même les profs.
Et toute la classe se mit à rire.
-Oui, tu as tout-à-fait raison et c'est pour cela que je tiens tellement à te voir toi aussi, George Géraume. »
George détestait Patrik que tout le monde appelle « le parasite » (la preuve, en maternel, l’horrible idiot avait apporté un couteau suisse à l'école, c'est bagarrer avec Patrik, lui a volontairement fait une profonde blessure à l'avant-bras droit, qui n'est d’ailleurs toujours pas partit, en plus il a forcé tout le monde à dire aux adultes que c'est Patrik qui l'a attaqué avec le couteau suisse et qu'en se protègent, il l'avait blessé.)
Patrik, lui, savait que le grand Cédric Maney était loin d’être fou et que tout ce qui avait été dit n’était que la pure vérité.
Mme Baxter attendit que tout le monde soit parti puis s'adressa à George :
« Je ne veux plus jamais t'entendre ridiculiser un de tes camarades.
-Oui, oui, bien sûr (Patrik l'entendit ajouter à voix basse) dans tes rêves vielle mémé.
Et George sortit de la salle sans même que quelqu'un ne l'y autorise. Mme Baxter n'y prêta pas attention et demanda à Patrik s'il n'avait pas de problèmes d'intégration vis-à-vis de ses camarades. Il hésita, deux options s'offraient à lui :
1-Il dit tout et se fait littéralement écraser à la sortie de l’école par George et sa bande.
2-Il ment en disant que tout va bien et continu à subir les moqueries jusqu’à la fin de sa vie.
Il choisit la deuxième option, de toute manière, tout le monde dirait que c'est faux et il passerait une fois de plus pour un menteur. De plus, on ne devrais pas tarder à venir le chercher pour aller à Aspadia, il était censé y aller dès la rentrée mais celle-ci a été décaler pour un raison inconnue.
« D’accords, dit-elle d’un ton peu convaincu, tu peux sortir. »
Patrik avait à peine posé sa main sur la poignée de la porte pour sortir qu'elle se décida à dire :
«Si, un jour, tu te résous à bien vouloir me dire la vérité, rappelle-toi que je suis là pour t'écouter. »
Puis il sortit enfin , elle lui emboîta le pas et fermât la porte à double tours puis il se dirigea vers le hall d'entrée , une fois arrivé , il se rappela qu'il avait oublié son manuel de français ( il avait neuf exercice pour le lendemains) paniqué , il regarda dans son cartable au moins une dizaine de fois mais rien, il détestait se servir de ses pouvoirs ( il ne supportait pas d’avoir des avantages par rapport aux autres) mais c’était un cas de force majeur. Il ferma les yeux et ce concentra puis les rouvrit et ne pris même pas la penne de vérifier si son manuel était bien dans son sac, il y était sûrement. Il referma son sac et repartit avec le peu d'élève qui restait dans le hall.

Chapitre 2 :

TROP tôt pour dire « Ouf »

En sortant, Patrik se rendit compte qu'il ne restait plus qu'Héléna -sa grande sœur venait tout juste d'avoir 15 ans- et elle l'attendait . Pas besoin d'utiliser ces pouvoirs pour savoir qu'il allait passer un mauvais quart d'heure. D’ailleurs, dès qu'il fut à sa portée, elle l'empoigna par ses cheveux châtains clairs, le secoua et lui hurlant :
« -Tu te rend compte que ça fait dix minutes que je t’attends ici ? Tu sais très bien qu'il y a la fête du début d'année ! Et dix minutes c'est justement le temps pour que tout le monde fasse connaissance et qu'elle commence ! J’espère que ça ne se reproduira plus. »
Puis elle le lâcha et alla en direction de la salle des fêtes. Une fois arrivé à la porte, elle se retourna brusquement vers lui et lui ordonna :
« -Dés que tu rentres, tu cours aux toilettes est tu en sort pas jusqu’à que je t'appelle au téléphone, puis tu sortiras et me rejoindra ici sans parler à personne sur le chemin il ne faut pas que qui que ce soit te vois avec moi.
-OK. »
Sur ce, ils rentrèrent et comme prévu, Patrik alla s’enfermer aux toilettes. Il s’avait pourquoi sa sœur lui en voulait et il la comprenait - même s’il aurait été moins agressif à sa place - lors de sa rentrée en sixième, elle a eu le trac et à échouer à la première épreuve, elle a été jugée "pas assez magique" et a été renvoyer chez elle. De toute manière, ce n'était pas plus mal, même s'il allait se joindre à la fête, il se retrouverait tout seul et devrait subir les moqueries du genre : « T'a oublié de t’habiller en te levant ce matin ou quoi ? » et le pire c'est que tous les monde rie à ce genre de pitreries.
Patrik était en train d'écrire sa rédaction sur son portrait chinois. Sa donnait un peu près ça :
Si j’étais métal, je serais l'argent car il n'est, ni trop prétentieux tel que l'or, ni trop négligeable comme le cuivre.
Si j'étais une célébrité je serais Barack Obama afin d'avoir le pouvoir d’améliorer le monde et mettre fin aux injustices.
Si j’étais un genre littéraire, je serais le conte, car il a su me faire rêver étant petit.
Si j’étais une couleur, je serais le bleu...
Il eut à peine le temps d’écrire ceci qu’il entendit des chuchotements et des gloussements qui lui étaient très familiers. Des bruits de pas qui s’approchaient progressivement puis en tendant bien l’oreille et distinguât le bruit de quelque chose de lourd que l’on traînait par terre.
Soudain, la porte d’entrée des toilettes et lavabos s’ouvrit en un claquement et là il reconnut les voix George et sa bande de bras cassés, comment ils font pour se supporter mutuellement durant toute la journée ? On ne le saura jamais, mais une chose est sûre, pour rien au monde, Patrik, ne voudrait faire partie de ce gang, il préfère encore passer le restent de ses jours en mode « solitude ».
En entrant ils répétèrent (à la manière des démons) et à la foi en rient :
« -Paaaaaaatriiiiiiiiik … Paaaaaaatriiiiiiiiik … ooooon saiiiiit queeee t’es làààààà. Inutiiiiiiile de teee cacheeeeeeeeeeeer, oooon vaaaaaaaa teeee trouver... »
Patrik ne répondit pas, il grimpa sur les toilettes de la cabine dans laquelle il c’était enfermé en arrivent et se mit même à retenir sa respiration afin que les autres s’imaginent qu’il n’est finalement pas là .
Mais ça ne fonctionna pas, cette bande d’idiots c'est mis en tête d’ouvrir chaque cabine si brutalement que lorsque l’on entendait le fracas, on aurait dit qu’elle se brisait en un million de morceaux.
Et puis quand Patrik compris qu’il ne pouvait plus rien faire pour se sortir de cette situation, il tenta un acte désespéré, il remit ces pieds à terre et pris une voix de personne âgée et gronda :
« C’est qui se vacarme, espèces de petit guarne……
-Patrik, tu sais que c’est une fête interdite aux plus de 20 ans, et donc y’a pas de pépé de 60 ans ! (Rires des autres) »
Patrik resta muet, il ne savait plus quoi dire, il ne pouvait qu’attendre de voir ce qui va une fois de plus lui arriver de mal en espèrent que ce soit moins pire que les autres jours.
Bizarrement, il n’entendit que des rires puis ce grincement, encore des rires et enfin la porte se refermer en claquent puis plus rien, alors il essaya de sortir mais la poignée bloquait. Heureusement pour lui, Patrik était très agile et il escalada l’un des murs de la cabine ou il se trouvait à l’aide du tuyau et tomba dans celle des toilettes d’à côté, il se releva mais il avait affreusement mal au dos. Il put enfin sortir et voir ce qu’avait fait les « esclaves »de George. Ils ont bloqué la poignée à l’aide d’une petite table.

Une fois arrivé chez eux, ils montèrent dans leurs chambres respectives puis, une demi-heure plus tard,
Elinor et Dane (leurs parents) rentrèrent du travail, Patrik prit la peine de descendre les embrasser sans trop d’enthousiasme et quand ils lui demandèrent si tout c’était bien passé, il s’empêchât de justesse de crier : « Franchement c’était bien mieux les vacances, au moins j’étais tout seul dans ma chambre à m’inventer des amis, à jouer aux jeux vidéo et à m’empiffrer de grecs » mais, finalement, il marmonnât en serrent les poings et les dents « Tout s’est super bien passé »
Elinor, qui sentait le malaise s’installer, dit gaiement :
« - Booon bien dans ce cas tout le monde à table ! »

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Avatar de isallysun isallysun Mode Lecture - Citer - 10/05/2018 22:26:09

Juste dans le premier paragraphe, je vois plusieurs fautes. Également, des phrases longues qui semblent être ta première idée couchée sur le papier, car je ne sens pas un effort d'avoir structurer la pensée.
N'hésite pas à te relire pour cibler tes fautes et pour préciser tes pensées. Tu peux aussi lire les phrases du texte à l'envers. Parfois, ça aide à préciser.