Il y a des jours où, tout à coup, je ne fais plus que ce qui me blesse. Je me remonte à contre-courant.
J'ai peur que les autres arrivent à me cerner, alors je me surprends moi-même pour glisser entre leurs doigts.
Le gros avantage, aussi, c'est que ça m'évite d'avoir à être moi...
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version avec tentative de modif :
Il y a des jours où, tout à coup, je ne fais plus que ce qui me blesse. Je me remonte à contre-courant.
J'ai peur que les autres arrivent à me cerner, alors je me surprends moi-même pour glisser entre leurs doigts.
Et puis c'est reposant, de ne plus avoir à être soi...
Peut-on cesser d'être soi ? (Vous avez 6h ^^)
Le ton pseudo-conversationnel fonctionne très bien dans les deux premiers vers mais j'accroche moins dans le dernier. Je pense que tu pourrais essayer une chute plus "maigre", sans enrobage, plus amère...
Mon autocritique est d'accord avec toi, Zinzo ! Mais je cherche encore...
J'ai beaucoup apprécié sans savoir quoi en dire.
Merci !
J'ai tenté une modif. Qu'en pensez-vous ?
Moi je sais pas (pas convaincue mais je trouve ça mieux au niveau du rythme).
Mouais, bon, je remets comme avant...
Je préfère le rythme de la deuxième version.
Les deux version sont bien, je ne sait pas quelle version je préfère.
Les deux version sont bien, je ne sait pas quelle version je préfère.
Je préfère quant à moi le rythme de la deuxième version.
J'aime bien ce petit texte même si je reste sur ma faim. J'aime la simplicité et ce que tu dis (et j'aime bien le petit clin d'oeil du titre à contre courant ^^)
Voilou !
(Nouvel essai)
Il y a des jours où, tout à coup, je ne fais plus que ce qui me blesse. Je me remonte à contre-courant.
J'ai peur que les autres arrivent à me cerner, alors je me surprends moi-même pour glisser entre leurs doigts. Ou peut-être que je cherche à m'échapper. M'échapper c'est à dire échapper à moi, ne plus avoir à porter ma personnalité, juste quelque minutes, ne plus être englué dedans...
Pourquoi pas, mais je reviendrais à la ligne à chaque phrase, personnellement.