Félicitations !!
Je n'ai lu que la deuxième version de ton texte, mais comme les autres, j'ai été frappé par l'horreur décrite. J'avais toujours, en surimpression, dans ma tête, la photo en question, qui m'avait déjà traumatisé au collège. Je pense que avoir vu cette photo apporte de la force au texte (peut-être faudrait-il la faire apparaître lors de la mise en scène, ou avant le spectacle).
J'ai bien aimé la deuxième partie, quand les phrases de l'Homme et de la Fille s'enchaînent. Je ne sais pas à quel point les répétitions ou les longueurs de la première partie se feront sentir lors de la mise en scène, mais je pense que les premières (les répétitions) sont nécessaires à la description de l'horreur, du traumatisme, de l'annihilation de tout ce qui n'est pas la souffrance de l'instant...
J'ai aimé, donc. Ou plutôt, le texte remplit ses objectifs (car je ne prends pas forcément de
plaisir à le lire). Mais je le trouve fort et prenant, il interpelle. Et c'est vrai que conclure sur la poupée tendue au public (+noir, rideau) serait très puissant, mais je l'aurai préféré après la deuxième partie du coup...
Merci pour ton commentaire Faël. tant que ta première lecture est encore fraîche... est-ce que ça t'intéresserait de lire la nouvelle nouvelle version ? Si oui, tu peux m'envoyer ton adresse mail par MP ?
Et HOP ! Rendez-vous samedi prochain pour une
lecture de Fleur de feu à la librairie l'écritoire de Semur-en-Auxois.