Ton ombre s'est brisée comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, effleurement de sève
Que des sillons de labours, que des fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune qui éclatait en larmes.
Implorant le soleil en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, effleurement de sève
Que des sillons de labours, que des fragments de ciel bleu.
PS : Lune, tu ne voudrais pas essayer de couper les vers plus au milieu ?
Aaah rien ne t'échappe :p D'accord, d'accord
le résultat est magnifique *. *
Ton ombre s'est brisée comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune qui éclatait en larmes.
Implorant le soleil en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, le temps d'un doux sommeil,
Quand les cèdres chuchotent, effleurement de sève
Que des sillons de labours, que des fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune qui éclatait en larmes
Implorant le soleil en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, le temps d'un doux sommeil,
Quand les cèdres chuchotent, effleurement de sève
Que des sillons de labours, profondes écorchures
Et autour des pupilles, que des fragments de ciel bleu.
(remarque : du coup maintenant on retourne au premier vers et c'est lui que le prochain doit découper)
Qui pour un redécoupage ? Qui ? Pas cher !
J'avais oublié ce sujet ^^
Ton ombre s'est brisée devant la fin des temps
Elle a frissonné face au vide, comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune qui éclatait en larmes
Implorant le soleil en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, le temps d'un doux sommeil,
Quand les cèdres chuchotent, effleurement de sève
Que des sillons de labours, profondes écorchures
Et autour des pupilles, que des fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée devant la fin des temps
Elle a frissonné face au vide, comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté, elle a erré cent ans
S'est perdue dans l'éther avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune qui éclatait en larmes
Implorant le soleil en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, le temps d'un doux sommeil,
Quand les cèdres chuchotent, effleurement de sève
Que des sillons de labours, profondes écorchures
Et autour des pupilles, que des fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée devant la fin des temps
Elle a frissonné face au vide, comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté, elle a erré cent ans
S'est perdue dans l'éther avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune trop lourde pour le ciel
C'est l'ombre de ton ombre qui éclatait en larmes
Implorant le soleil en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, le temps d'un doux sommeil,
Quand les cèdres chuchotent, effleurement de sève
Que des sillons de labours, profondes écorchures
Et autour des pupilles, que des fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée devant la fin des temps
Elle a frissonné face au vide, comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté, elle a erré cent ans
S'est perdue dans l'éther avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune trop lourde pour le ciel
C'est l'ombre de ton ombre qui éclatait en larmes
Implorant le soleil de ne jamais l'oublier
Maintenant qu'elle avait périt en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, le temps d'un doux sommeil,
Quand les cèdres chuchotent, effleurement de sève
Que des sillons de labours, profondes écorchures
Et autour des pupilles, que des fragments de ciel bleu.
(Puis-je te suggérer, Lune, de changer le "maintenant qu'elle avait péri" en "puisqu'elle avait péri" ou "maintenant qu'elle était morte"? Je trouve que "maintenant qu'elle avait péri" ce n'est pas très naturel comme tournure... Simple proposition...)
(si tu le dis ^^)
Ton ombre s'est brisée devant la fin des temps
Elle a frissonné face au vide, comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté, elle a erré cent ans
S'est perdue dans l'éther avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune trop lourde pour le ciel
C'est l'ombre de ton ombre qui éclatait en larmes
Implorant le soleil de ne jamais l'oublier
Puisqu'elle avait périt en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, le temps d'un doux sommeil,
Quand les cèdres chuchotent, effleurement de sève
Que des sillons de labours, profondes écorchures
Et autour des pupilles, que des fragments de ciel bleu.
Ton ombre s'est brisée devant la fin des temps
Elle a frissonné face au vide, comme une âme qui a froid
Elle a longtemps chuté, elle a erré cent ans
S'est perdue dans l'éther avant d'échouer dans un étang gelé
Comme la pleine lune trop lourde pour le ciel
C'est l'ombre de ton ombre qui éclatait en larmes
Implorant le soleil de ne jamais l'oublier
Puisqu'elle avait périt en tombant de son rêve
Elle n'a laissé sur ton front, pâle de son absence
Quand les mots s'évaporent ,le temps d'un doux sommeil,
Quand les cèdres chuchotent, effleurement de sève
Que des sillons de labours, profondes écorchures
Et autour des pupilles, que des fragments de ciel bleu.