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Arbre

Le Temps des Rêves

Se rappelle....

Le nombre 23.
Trois sourires.
Des paroles échangées. Des rires et tout. Du papier. Des mots. Ces mots là. Dialogue de Tinto a Agape...

Cette phrase : "Que celui qui n’a pas besoin qu’on lui fasse de leçon commence à comprendre où il s’est fourvoyé."

Ce qu'il y a avant ce passage prend sa valeur de ce que je comprend sans forcément calquer ça à ma propre peau. Envie d'embrasser une étoile du coup. Envie de dire : "vous me faite chier les filles, et je vous adore". Envie de provoquer des rencontres, en un instant, un seul. Envie d'être plus grand, d'être de Vinci et Gandhi dans une même peau, les poils en plus et la robe bizarre en moins...

Sérieux, j'aime ce texte parce qu'il me touche, que je l'accepte sans tout accepter. Parce qu'il est beau pour lui même. Mais amusant, je crois que ça je l'ai déjà dit (et si c'est pas le cas, c'est une erreur que je rattrape ce soir).

Dis, tu me montreras tout ce qui entoure ce dialogue, hein ^^