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Arbre

Le Temps des Rêves

Effectivement, j'ai du mal à t'imaginer écrire cela. C'était sûrement un soir de pleine lune, après une improvisation lugubre au piano, tandis qu'un rossignol nostalgique et frissonnant envoyait ses trilles avant l'heure. (Dis-moi, Wen, la schizophrénie est-elle contagieuse chez les Nains ? ^^)

Personnellement, j'aime bien le décalage que crée un mot aussi connoté que "s'exorbiter" qui s'applique soudain à autre chose que les yeux. Et le fait que le rythme du poème soit aussi saccadé que la danse que tu décris.