Je suis malheureusement tout à fait de l'avis de Contrate concernant le texte... La mort peut etre un thème extremement intéressant et touchant lorsqu'on sait comment l'aborder, mais là j'ai comme l'impression que ce n'est pas le cas... Autre chose me dérane : c'est la passivité de ton "personnage" vis à vis de la mort... Il n'y a dans de texte rien qui e justifie une telle résignation... Personne ne se laisserait mourir (meme si ici il ne meurt pas, c'est son ami et pas lui, mais il semble qu'il n'aurait pas réagit différemment) sans se plaindre voir lutter avant... Ici ton personnage est plat et soumis... Si tu as une raison pour penser ainsi, pour que ton lersonnage soit ainsi, explicite la un combat qui ure déjà depuis longtemps, une solitude trop longue, tout le monde qui meurt autour de lui, la fatigue à force de trop lutter......!
Pour finir, je vais faire la suisse entre Contraste et tous les autres : je ne serai pas soulagée si un proche mourrait et que jétais sauvée, mais je ne voudrais pas forcément le rejoindre non plus (disons que ça dépend de la dite personne pour ce point) je serai plutot profondément triste, au point - je sais de quoi je parle - d'avoir l'impression de mourir de l'intérieur, sans pouvoir y faire quoi que ce soit.... C'est ça, la vraie douleur : c'est celle qu'on ne peut soigner.
