J'adore, mais pour des raisons purement stylistiques. Simplement parce que tous les vers, jusqu'au deux derniers, sont centrés sur la matière, sont impersonnels, sont presque froids... mais l'avant-dernier est une espèce d'apogée, dans lequel l'intellect et les sentiments entrent en jeu... avant qu'au dernier vers, tout retombe, comme un soufflet... c'est rondement mené. Superbe.