Aaaah... ça fait plaisir.
j'aime beaucoup l'idée du dialogue qui, de plus, gagne à être co-écrit.
J'ai particulièrement aimé le début avec cette idée que le bonheur brûle et, encore plus, le parallèle que vous instaurez entre le bonheur et l'apparence des sacs qui le contiennent.
Et cette idée de sac qui déborde de bonheur, qui réclame le partage...
Et ce mot de "bonheur" qui revient sans arrêt, comme une pierre sur laquelle on passe et repasse pour la polir, l'apprivoiser, en connaître les contours...
Comme le disait Thorfyn, c'est presque enfantin mais grave tout de même... et je pense que c'est cela qui donne de la beauté à ton texte.
Au plaisir de vous relire !
