La dernière phrase tombe glacialement et jette vraiment un froid. Et "matrice" est parfait.
Ce texte témoigne d'une sacrée maîtrise de la langue, je trouve, pour parvenir à agencer ainsi les mots dans un dialogue tout en rimant et en faisant choir sur le dos du lecteur une fatalité horrifique.
J'ai eu l'impression d'un flash back au moyen-âge, moi aussi, et d'avoir la scène parfaitement sous les yeux, impuissant...
Quant aux nœuds dans la tête, parfois, cela fait comme avec les arbres : ça donne une branche.