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Arbre

Le Temps des Rêves

La quadrature du cercle,
Un carré dans un rond.
Avec la perspective s’il vous plaît !
Et le bâtiment est là,
La cour en contre bas.
En vis-à-vis, la bibliothèque des instants de minuit,
Au couleur noir rouge.
Le feu des passions gravées dans la littérature des constellations.
Le ciel s’est couvert.

Il aura chaud comme ça.

Il a raison car les cordes se pleuvent sur les pavés,
Les engloutissent,
Les érodent…
Mais n’éteignent pas les cigarettes.
Petite corde.
Tire dessus.
Et même la queue du diable.
Noir et rouge et des passions littéraires.
Les flammes de l’enfer s’éteignent car
Il pleut des cordes, pour se pendre, il pleut.
La circonférence des bâtiments cubique est bien étrange,
Et toujours cette bibliothèque rassasiée ou presque…
Des cigarettes pour les lire.
Lire le blues page par page.
Raide du papier jauni.
Raide d’un black out des mémoires.
La réminiscence déjà s’invite après que
Les amoureux de la place aux bâtisses biscornues ait fini de bécoter.
Nues.
Dénue.
Presque désirable, la pierre.
Le Minéral.
Le glacial des mots gravés dans la bibliothèque.
La rectitude a presque des courbes !

Une bouffée de tabac.
Prélude avant la mort.