(et là, je me dis que mon ombre chinoise en haut est passée inaperçue, et est illisible -_-)
Ben c'est une main d'enfant (
un nouveau jour s'émeut) qui s'attarde sur une main adulte (
comme les mains disent je t'aime), un peu usée et parcheminée, avec des gouttes de sueur dessus (
l'été s'acharne à puiser le grain de l'eau / sur la peau)
La manche de l'enfant se prolonge en un élément de paysage, avec une micro-scène : un banc sous un arbre (
à l'ombre l'air est à l'aise), l'adulte joue avec l'enfant, qui attrape la main (
la moindre fraîcheur dans la chair / se trouble encore). Le soleil très brulant (
que le bleu du soleil avive) trace l'ombre de cette micro-scène.
Le but est de transformée ces mains en une espèce de paysage très craquelé, comme un désert trop éclairé
Le corps brule, l'été s'incarne...
... ben c'est foiré
