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Arbre

Le Temps des Rêves

En règle générale: j'ai bien aimé Grand Sourire
notamment les expressions avec les mots qui se perdent, s'oublient, etc...
après, j'avoue que j'ai aussi trouvé ça un peu lourd par moments, notamment la fin de Yann 1 et 2 et Loëza le dernier (mais voir ci-dessous pour plus d'infos ^^).
Je trouve le titre très bien trouvé!

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Commentaire au fil de lecture : (étant donné que je me suis lancé dans le grand périple de corriger un roman sur un autre forum que celui-ci – oui le mien ne me suffisait pas… j’ai en ce moment tendance à faire des longs commentaires et de m’arrêter sur des petits détails plein partout, désolée d’avance ^^’)

« Un jour, Loëza avait cessé de parler. On avait cru son silence éphémère, comme une pause lorsque l'on reprend son souffle, un instant de repos avant le renouveau de la course. »
Etant devenue adepte de la taille, je me demande si le bout de phrase après souffle est utile, perso je l’aime pas trop ^^’

« Mais plus un son ne sortit de son corps. Personne ne se rappelle de ses dernières paroles, personne ne se souvient des dernières pensées qui ont fait vibrer l'air. »
On passe du passé composé au passé simple au présent. C’est peut-être légal, mais moi ça m’a fait bizarre …

« L'éclat est toujours là. »
J’ajouterais « Pourtant, l’éclat est toujours là. »

« et de sourire forcés. » manque un s

« logorrhée » c’est koââââ ??

« être de pensée » je mettrais au masculin ou au pluriel… (mais on connaît tous mon sens de l’orthographe)



Ce deuxième « chapitre » et juste magnifique T.T
Sauf :
« Un jour je me suis tu. »
Par la suite tu as mis un e à tu…

« elle prenait les mots, subrepticement, avec son air malin, elle les déshabillait, les retournait comme on retourne un gant. »
J’ai trouvé la phrase un peu longue


« Elle m'offrait son mutisme en même temps que sa fragilité de vierge. »
Signature : poulix trois cent pour cent ^^ mais c’est un peu étrange de parler de vierge là, ça ramène un contexte très « chargé » qui n’est pas là avant (et qui moi me pèse ^^) ou alors affleure à peine, mais suffisamment.

« Pourtant, je sais aujourd'hui que ses silences n'étaient pas des mensonges. » la répétition du mot mensonge m’a gênée…


Est-ce que je suis d’accord avec Nani ??
… oui je crois,
Je suis plutôt fan en général des arbres et des écorces, mais là je trouve dommage d’avoir pris cette idée, ton héroïne ne paraît pas particulièrement versée dans ce genre de chose, et du coup j’approuve la phrase avec le livre, où tu restes plus dans le sujet.
Je me suis aussi demandée ce que venaient faire les rossignols, et j’ai failli le relever, mais de ce que je connais de tes écrits, c’est dans ta manière de dire les choses donc…
Donc j’utiliserais des images sur la vie plus en générale à la place de l’arbre et des écorces, si tu décides de garder le passage.

La leçon philo m’a pas gênée, peut-être parce que je suis en plein dans une phase un peu « introspection à travers mes textes ». Mais j’ai quand même trouvée la fin un peu redondante.
« Cheminant dans mes méandres intimes, suivant la ligne de mon propre horizon, j'ai marché longtemps dans mon temple intérieur où seuls résonnaient mes pas contre les reflets colorés des vitraux. »
Méandres intimes, moi je suis resté sur les creusés des corps et la vierge, du coup ça prend un tout autre sens (j’ai honte ==)
Répétition de propre horizon = est-ce grave ou pas ? c’est plutôt important, mais d’un autre côté ça marque vachement dès la première fois donc…

‘intérieur’ est déjà utilisé au dessus ? en tout cas temple en dessous… et les pas aussi… je me demande si un petit coup de Taille et hop… on passe du livre à elle ne sait pas pourquoi elle se tait…

L’intro est un peu à revoir pour moi, au moins le début. Je l’aime beaucoup, et en même temps pourquoi ce n’est pas Yann qui la fait par exemple ?