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Arbre

Le Temps des Rêves

(pour omega : hiphiphip hourrra !)
Wa-hou ! Je suis sur le c** !
Magnifique texte. Rien à dire...
(et, Che, il y a du sang dans ce texte tu sais ^^. Simplement, il ne se lit pas, il se sent (heu... en tout cas, je l'ai senti))

J'adooore ce passage là...
Tu as vu d’abord la lumière des phares à travers la pluie
Tu refusais d’entendre
Son miaulement d’acier insoutenable, qui te roule
Sa mâchoire de ferraille qui claque et qui jubile
Mâchoire à broyer les rêves…

Les genoux sur le béton froid, les mains crispées aux oreilles
Moi qui crie et supplie
Laisse-moi vivre…



"Alors je me souviens
Ce froissement de tôle
Comme l'accordéoniste
Boulevard Vezenska."



Et les "perles accrochées à l'arbre mémoire" sont tout aussi sublimes...