Je crois que comme Poulix, j'ai fini par accepter la stryge ou le, on s'en moque. Et puis, c'est logique que tu gardes ton personnage masculin.
Mais vraiment, le bonheur, ça ne colle pas. Je crois que j'ai compris ton explication et dans une autre phrase, peut-être que ça collerait mais avec cette tournure, je trouve que ça fait maladroit alors que toi, tu mets une idée derrière. En fait, je bannirais bien le mot bonheur ou alors, je l'associerais à l'idée que c'est une sorte de faiblesse coupable, de se délecter ainsi du sang du Christ...
Quant à l'effet miroir, je suis d'accord pour changer la formulation mais en gardant les oppositions que tu avais construites entre souillé/pur et voyant/désuet.