Aujourd'hui, je me spécialise dans les longs commentaires:
« la douche argentée que me procure l’Astre nocturne. »
Un peu cliché diraient certain(e )s non ?
« Une vache meugle au loin, jalouse de ne pouvoir égaler un tel spectacle avec ses pis. »
Ce que j’admire chez toi, entre autre, que je retrouve chez le Lapin ou Che, c’est votre capacité à mêler des trucs hyprapoétiques à des trucs hypopoétiques. Perso, j’aime pas trop. Mais j’admire quand même !!
« une petite boule semblable à une mini pelote de laine que j’avale goulument. »
Je trouve que « mini-pelote de laine » casse le rythme.
« Je retourne dans le nuage et me secoue tel un moineau dans une mare pour bloquer des petits morceaux délicieux sous mes appendices duveteux, comme des petits carrés de sucre glace. »
Est-ce que ce n’est pas dommage qu’il y ait « tel… » et « comme… » dans une même phrase ? je trouve que ça la rend n peu ardue.
« Je me faufile par une des mes manches. »
J’ai pas compris ^^
« et saltote »
J’adopte le mot
« déjà les premiers rayons du soleil percent timidement l’horizon. »
Ah ! Mais tu worship tant la Lune que tu ne veux pas mettre de majuscules à Soleil ??
Je suis mitigée sur la fin. Elle est bien, et en même temps c’est étrange soudain d’apporter un nouveau personnage, duquel l’oiseau (ou qu’en sais-je) semble amoureux ou très attaché, alors qu’on y fait même pas allusion avant… (une petite phrase nostalgique ? ou bien de hâte ? )
