Je suis d'accord avec Zinzolin. Un souffle, un rythme, telle une invocation, un esprit "antique" ...
J'ai juste moins accroché à ce passage, trop laborieux à suivre je trouve:
Les formes s'assouplirent à la matière
Tout devint lisse - et divin
Fut ce corps de pierre
Mais bien vite l'artisan perdit
-Sa tête-
Plongée dans ce tourbillon
Les paillettes étranges
Naissant de ses instruments
N'eurent de cesse d'hurler
-Son nom-