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Arbre

Le Temps des Rêves

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L'atmosphère se fît sombre
S'engageant au milieu des décombres
Dame Nature enveloppa dans sa toile
La cité qu'observaient les étoiles.

Elle s'attristait et ses larmes,
Telles les astres échoués du ciel,
Accablaient d'une morsure glaciale
La ville vidée de ses charmes.

Rien ne bougeait, ne chantait.
Le silence se posait, enchantait.
La prose mécanique endormie
Ne règne plus en ce royaume gris.

Des cieux plongea une lueur.
D'un espoir emplissant le cœur,
Lumière incrustée de beauté
Que nulle nuit ne put envelopper.

Le corps, voilé de noirceur profonde,
Mur et prison d'une armée de songe
S'éleva au toucher de cette onde
Repoussant les douleurs du mensonge.



Ruines




L'atmosphère se fait sombre
S'engageant au milieu des décombres
Dame Nature enveloppe de sa toile
La cité qu'observent les étoiles.

Elle s'attriste et ses larmes,
Telles les astres échoués du ciel,
Accablent d'une morsure glaciale
La ville vidée de ses charmes.

Rien ne bouge, rien ne chante.
Le silence se pose et enchante.
La prose mécanique endormie
Ne règne plus sur ce royaume gris.

Ici des cieux plonge une lueur,
Et d'un espoir emplit le cœur :
Lumière incrustée de beauté
Que nulle nuit ne peut envelopper.