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Arbre

Le Temps des Rêves

Pour la dernière strophe, j'aurais presque envie de finir, simplement, sur "... sur sa lèvre l’haleine s’épuise".
Juste parce que je trouve ce vers très beau et que l'épuisement de l'haleine correspondrait à l'épuisement, la fin, l'essoufflement du poème.