Arf ! C'est dommage que tu n'as pas laissé la première version pour comparer ! Du coup là ça devient plus dur à commenter en fonction de l'ancien, c'est comme un autre poème ...
Je note quand même ce qui m'a frappé à la première lecture.
Jibouille a dit :
Tu la prenais
délicatement
Et puis tu la retournais
complètement
Puis
(tu) la reposais
Et il neigeait sur elle
Je rajouterais un "tu" sur l'avant dernier vers pour une question de rythme
Et le dernier vers, je ne sais pas, je le trouve rêche par rapport justement à la mélodie phrase/adverbe que tu as créée au dessus (qui en passant n'était pas là avant il me semble et que je trouve super)
Jibouille a dit :
Plus personne n'y trouvera une tour Eiffel
Pas plus qu'un trésor dans les couleurs du ciel
Lors d'un couché de soleil
un soir sur les quais de la Seine
Bon, ça c'est une remarque que je fais tout le temps à tout le monde (ou presque
) mais je trouve que les rimes font trop "recherchées" ...
Jibouille a dit :
Les enfants sont partis
Pour se mettre au chaud et regardent à l'abri
Derrière les carreaux tomber des confétis
Dont je ne vois plus les couleurs...
Je ne me souviens plus exactement de l'ancienne version (on m'avait pas dit qu'il fallait les apprendre par coeur!!) mais il me semble que c'était moins enfantin, et c'était bien ...
Donc voilà, tu l'auras compris, y a des reformulation que je trouve bien (sauf les deux dernières citations donc) mais peut être es-tu allé trop loin et tu as perdu cette fragilité, cette émotion ... Il faudrait remettre un peu "d'hésitation" (trouver le juste milieu ! ^^)
Alalala c'est dur dur !! ^^
(Bon et tout ceci reste subjectif, bien entendu)
EDIT : Houuuuuurra ! L'ancienne version est sur ton micro blog !
EDIT 2 : J'ai trouvé mon passage regretté !
Jibouille a dit :
En tout cas moi je n'y vois plus rien depuis que tu n'es plus dedans
Enfin... plus complètement...
Et c'est bien là le problème
précisément...