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Arbre

Le Temps des Rêves

Magnifique ! Mais tellement vrai malheureusement.

Moi j'adore les trois derniers vers qui méritent le haïku à eux tous seuls.

Par contre c'est plutôt le passage : "Dans tes cheveux humides, l’une d’entre elles se pose, sans gêne. Se pose et se colle. Gluante.

Et c’est tristement que tu t’éloignes. "

C'est vrai qu'il jette moins que le reste. Surtout gluante, qui fait partie des mots qui incarnent parfaitement leurs sens. Il est, comment vous dîtes déjà ? Ah oui, apoétique.