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Arbre

Le Temps des Rêves

C'est un poème assez différent, mais je l'aime bien comme ça, je le trouve plus épuré.
Dommage juste de perdre la projection dans le futur qui introduisait la dimension du fantasme "nous pourrions, sans nous dire un mot de plus". Je ne sais pas s'il y a moyen de la réinsérer quelque part.
Je me permets une suggestion :
"Ce soir, je ne peux plus rien y faire" --> "Ce soir encore / Je ne peux rien y faire"
Le "encore" qui était dans la première version montrait bien la continuité, la fatalité de la chose. Avec "Je ne peux plus rien y faire" on a l'impression que l'impuissance est nouvelle.