Retour à la conversation
Arbre

Le Temps des Rêves

La bibliothèque d'alexandrins : http://graner.net/nicolas/OULIPO/alex.html

Comme son nom l'indique, on peut générer des poèmes en alexandrin assez facilement. Le moteur est assez bien fichu même si les vers ont beaucoup de chevilles.

Ici, une tirade :

Des courtes vérités commencèrent des dents
Quels personnages clairs font vingt-huit présidents ?
Les vraies herbes perdues payent des vieux roses drôles
Des goûts et des nations, un éclat puis l'épaule
Cinquante chers nouveaux sur soixante riront
Soixante-quatre fruits pénètrent environ
Dommage, les métiers ! hé ! nous traînions ensuite
Des louves renversaient si les côtés profitent
Les sentiers, qui marchaient, songeaient jusqu'à la nuit
L'œil puis un général, un sac sinon un bruit
Elles liaient une motte, or ils se disloquèrent
Les poètes passaient des certains caractères
Des véritables nez reçurent les métiers
Des nuages brisaient la rapide moitié
L'eau puis la religion, les chasses puis des haines
Des œils sinon les lois, des objets ou des plaines
La vraie plante n'usait ni l'eau ni la chaleur
Quels intérêts précieux créent beaucoup de douleurs ?
Quelles nuits absolues posèrent des étages ?
Des mémoires partaient qu'un système dégage


A noter que le site du monsieur regorge de trésors ^^