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Arbre

Le Temps des Rêves

Héhé : je découvre la modification de ce texte
"L'espoir vaporeux d'une échappée loisible" --> désolée mais je crois que l'échappée loisible et moi ne nous entendons définitivement pas ^^

"C’est parti comme la fureur d’une tempête
Contre le flanc d’une montagne.
C’était tendre et violent,
Comme le cri d'un souffle frêle
La frénésie vive des silences languissants. "
--> j'aime bien le cri du souffle frêle. J'enlèverai le vers suivant pour ne pas trop entrer en rupture avec la simplicité instaurée.

Pour l'excuse du musicien qui n'a pas appris le solfège, personnellement, elle me parle. Non pas que je pense qu'il faille s'excuser. Mais parce que je sais que quand on n'est pas sûr de soi en impro, on a envie de s'excuser dès qu'on quitte le siège du piano ^^. Pour moi, ce dernier vers reflète une réalité, un sentiment, qu'on n'exprime pas si souvent et je trouve qu'il serait dommage de le passer sous silence.