J'aime bien le sentiment de la poésie que tu nous donnes. Même si, personnellement, je la verrai plus comme une amie dont peut parfois s'éloigner, mais qu'on n'oublie jamais et à laquelle, quelles que soient les années qui passe, on finira toujours par revenir. Et moins, du coup, comme ce boulet, cette bague au doigt que tu sembles décrire à la fin du poème.
Mention spéciale pour les oxymores particulièrement efficaces, et en particulier pour la "damnation heureuse"