Retour à la conversation
Arbre

Le Temps des Rêves

Une petite scène coupée ! Un nouveau perso se tape l'incruste à l'avance, le problème c'est que j'ai envie de tout dire de lui alors que c'est vraiment pas le moment (et qu'il ne faut pas dire mais montrer ^^ et puis en plus je n'arrive pas à être convaincue par ce dialogue ^^)

(haha ! du coup je l'ai pas "écrit" et il y a les possibilités de choix que je me laissais! c'est un peu à la Des mers de toi Petit Sourire )

Avant de les suivre, Enjan confia son cheval à un page de son âge, engagé avant leur départ en campagne.
- Merci de t’en occuper, Walyedin.
- Vous ne lui avez toujours pas donné de nom ?
La question paraissait impolie mais elle était posée en toute innocence et amitié. Enjan ne s’en offusqua donc pas, au contraire. La spontanéité naturelle/simplicité du jeune homme lui plaisait .
— Je manque d’inspiration, admit le Roi .
Il flatta l’encolure de la bête. Malgré sa modeste taille au garrot, elle avait tenu le rythme soutenu/endiable/ du voyage sans broncher.
Le regard conspirateur, Walyedin entrouvrit les lèvres et laissa filer entre ses dents :
— Le Magicien Laurence vient vers vous et l’air frémit autour de lui.
Le page se retira après une courbette mi-respectueuse, mi-impertinente. Discipliné la plupart du temps, débrouillard, Walyedin était excellemment doué à l’épée. Un bel avenir s’offrait/s’ouvrait à lui.
Enjan se félicita d’avoir insisté auprès des recruteurs pour qu’ils admettent plus d’apprentis. Les chevaliers qu’il avait hérité de son père figuraient parmi les guerriers/combattants les plus expérimentés/aguerris de l’île mais même les engrenages/les machins les mieux huilées/les plus performantes avaient besoin de pièces neuves/de sang neuf pour se développer/ne pas se scléroser/s’encroûter/se fossiliser.
— Enjan…
Soupçon de menace.
— Arrête de rêver.
Exaspéré/patience épuisée/fatigue/nervosité/crispations/désespérance.
Kahlan le saisi par le coude et l’entraîna vers sa tente.


Tant que j'y suis une phrase qui décrivait un peu trop Enjan (un peu trop directement) :
Son attitude dénotait un caractère avenant, à l’écoute des autres, taquin à l’occasion mais aussi enclin à l’emportement, parfois boudeur et souvent très naïf.