Je garde le "tire la langue" pour introduire l'image de la pluie. D'ailleurs je me suis rendu compte que "cycle" avait une nouvelle signification pour ce poème : sève-->évaporation-->vapeur-->pluie = le cycle de l'eau, en quelque sorte^^.
En essayant de lire ce texte à voix haute j'ai trouvé que cette strophe n'allait pas :
"La poussière de musique s'élève,
Presque lourdement ; elle s'éveille
Puis s'agrège pesamment
En trilles inquiétantes."
Que pensez-vous, à la place, de :
"La poussière de musique s'éveille,
Presque lourdement
Elle s'agrège, se concentre
Et s'embrase, s’éparpille
En trilles aigre-douces."