J'aurais bien voulu faire des remarques plus précises mais je n'ai n'ai malheureusement pas le temps de m'y mettre sérieusement. Aussi, je me cotenterai d'un commentaire plus général : j'ai vraiment aimé ce poème. A la deuxième lecture, surtout, une fois que j'avais le sens du titre. J'aime ce portrait de l'ego, d'une part sombre en chacun de nous qui abîme l'intérieur tout en guettant son heure. Je trouve l'image de gratter le coeur de l'intérieur particulièrement atroce et efficace. Peut-être dommage de l'avoir utilisé deux fois...
J'ai trouvé ça un peu long quand même, par moments, mais les nombreuses répétitions ne m'ont pas gêné.
Merci pour ce texte !
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Coquilles :
Et vienst mon heure (sauf si tu t'adressais à l'heure ?)
Nourries moi des sombres pensées que tu tais --> Nourris-moi