24/10/2013
A 5h du matin
Je me réveille, il fait jour. Je n’arrive pas à ouvrir les yeux, pas de le sens où j'ai la flemme : je ne PEUX PAS ouvrir les yeux. Je les frottent, je sens une sorte de poudre grumeleuse qui colle mes cils. Je gratte, je parviens à ouvrir l’œil gauche. Je me regarde dans un miroir, j’ai de la poussière séchée vert émeraude à paillette sur les yeux. Mon œil droit est collé par cette glue bizarre. Je gratte et petit à petit parvient à décoller mes paupières l’une de l’autre. Mes muscles des paupières me font mal à force de se contracter sans résultat, et je ressent une douleur aux yeux aussi, comme si j’avais quelque chose de lourd qui les écrasait. Pourtant, quand je gratte la poussière [ consistance un peu comme du crépit] ça ne me fait pas mal. Je me souviens de quand j’étais petite et malade, je me réveillais souvent avec les yeux collés.
Finalement j’ouvre l’œil droit mais toujours mal, alors je me réveille à cause de la peur. [je me réveil vraiment, et dans la vraie vie : j’avais mon avant bras sur mon visage et il pesait son poids le bougre !]
Plus tard
Je suis sur le tournage de Mme Bovary, je découvre les décors. Des rues avec des échoppes, des charrettes, etc. Je passe la main dans mes cheveux, je me rends compte que je ne les ais pas coiffé, les coiffeuses vont être en colère. Je me précipite vers le marché, qui finalement s’avère plus un super U ou comme le marché intérieur (dans je ne sais plus quel bâtiment) à Amiens. Je trouve les brosses, je décide d’en essayer une différente de celle que j’ai d’habitude, avec des pics en métal. Il faut me coiffer vite, ce sera plus efficace. Elle coûte 3 € et je ne veux pas l’utiliser avant de l’avoir payée, seulement je n’ai pas de sous. Avec deux amis [dont une certaine feuille de Ginko Biloba…] nous allons voir, dans le superU-marché couvert, un indien (d’Inde) qui tient un bureau de change. Je lui demande s’il veut bien me donner trois euros. Il ne comprend pas ce qu’on lui dit. La feuille de Ginko lui explique la situation en japonais [hier soir j’ai mangé avec des japonais]. Le vendeur accepte et là… un feu immense jaillit dans la contre allée, comme le feu d’Harry Potter dans la salle sur demande ! On a peur, c’est un peu la panique et là quelqu’un arrive en hurlant sur quelqu’un que je ne vois pas en lui disant de faire attention quand il crache son feu !
Alors deux hommes super forts arrivent de la contre allée, habillés comme au Moyen Age. Le premier crache de l’huile (qu’il boit dans une outre) dans un jet très horizontal et régulier, et le deuxième récupère dans un cor puis souffle dans le cor et ça fait des flammes de dragon. [Avatar me monte à la tête mais j’aurais juré que c’était des maîtres du feu]
