J'ai dû relire ce poème avant de le comprendre, mais le sujet et la simplicité avec laquelle tu l'aborde, sans détours verbaux, sans envolées lyriques, le rend vraiment touchant, juste.
"J’ai eu un père
Qui ne me connaît pas
Effacé de sa mémoire"
Je pense que cette strophe pourrait presque être supprimée : elle reformule ce qui est dit plus haut, alors que c'était très bien dit.
La dernière strophe me laisse sans voix, tu as mis des mots simples là dessus et je l'admire.
Merci.
