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Arbre

Le Temps des Rêves

Et d'un cœur ouvert, aux pleurs solitaires,
Et d'un cœur ouvert, s'échappe la complainte.
D'une vie éteinte, par toutes ces prières,
D'une vie éteinte, sans rayon solaire.

Au fond du gouffre, du poète l'heure sonne
Au fond du gouffre, s'éclipse l'automne.
S'acharne la main d'un destin millénaire
S’abat sur son âme ses essences amères.

Et d'un cœur ouvert, fuyant cette absinthe,
Et d'un cœur ouvert, s'échappe la complainte.



Même chose que pour le poème précédent.