petites remarques : "après avoir fort travaillé"
Qu'est-ce qui justifie le "que" au début du troisième vers ?
Sans te demander de nous transcender ou de nous émouvoir et de nous chambouler, que sais-je, avec ce poème, je le trouve trop court pour m'emporter, à peine la réflexion est-elle amorcée qu'elle retombe aussitôt, mais surtout trop... froid. Du coup je ne ressens rien de l'injustice de la situation, ou rien ne m'intrigue pour me donner envie de réfléchir, bref je ne sais pas quoi mais il lui manque quelque chose pour me faire quelque chose, quoi qu'il soit sensé me faire. Et c'est bête parce que le sujet proposé me plait bien, en soi.
