Toujours autant d'adhésion à partir du milieu, quand tu rentres dans la narration et la fin est toujours aussi légère et inattendue. J'adore la manière dont tu nous fais nous intéresser à des choses infimes, que l'on a tendance à ignorer, à mépriser.
Simplement, cette fois-ci, j'ai trouvé la présence du narrateur trop importante au début, surtout avec l'emploi du futur qui anticipe sur la suite et les nombreuses digressions sur chacun des personnages. J'ai eu l'impression de me retrouver au début d'un Woody Allen avec cette voix off, qui a toujours le don de m'exaspérer un peu...