Pour ma part mon dictionnaire de la danse est écrit, et il y a beaucoup de blanc sur la page, après coup je me dit que c'est pour ajouter mes notes au fur et à mesure de ma vie.
Ça me fait penser aux dialogues de Lazouli, aux romans de Wen, chacun sa façon
et oui, j'ai l'impression qu'en grandissant chacun on trouve le moyen (et on a l'envie et le besoin) de s'exprimer, chacun trouve son média préféré, et quand c'est fait, qu'on le travail, il y a (en tout cas chez moi) une sorte d'autosatisfaction presque jouissive qui en sort, et lorsqu'on le fait partager aux autres et qu'on les touche, ça devient plus autosatisfactif mais universatisfactif, c'est le bonheur par (bonne) procuration... bon ok, je vais me coucher et j'arrête d'écrire des mots qui n'existent pas.
